Sur ce site, nous ne parlons que de douleurs et chaque lecteur a compris qu’il faut en trouver la cause pour bien les soigner.
Ces douleurs sont plus ou moins importantes selon l’inflammation générée par la (les) causeS. C’est pourquoi le marché des anti-inflammatoires est aussi florissant (idem pour les antidouleurs).
Pour lutter contre l’inflammation, il faudrait « prendre » » quelque chose. C’est le message dominant… et les « remèdes » varient en fonction de l’époque et des modes.
Aujourd’hui par exemple, il faudrait prendre du curcuma… et chacun, dans son coin, cherche la meilleure façon d’ingérer cette substance présentée comme miraculeuse. Il fut un temps où l’ortie ou la prêle avaient la cote… Tous les temps et toutes les cultures ont toujours proposé des remèdes à « prendre », car l’homme réfléchit difficilement quand il souffre et les remèdes (et autres « trucs ») fonctionnent toujours, ne fut-ce que temporairement.
Et si l’on pensait autrement !!!
Et si, au lieu d’ajouter quelque chose, il faille enlever ou diminuer !
Enlever ou diminuer… Quoi ?
Une piste ci-dessous
Et…
Si la douleur est une émotion (ce dont on est sûr maintenant), il serait utile de connaître les rapports de notre cerveau avec l’alimentation…
Bien nourrir son cerveau !