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Mon métier doit utiliser les connaissances de la science pour agir avec art.

Si vous espérez trouver des réponses simples, des solutions faciles à vos douleurs, vous ne les trouverez pas dans mon site… non par volonté de « compliquer » les choses, mais tout simplement parce que ces solutions faciles et rapides n’existent pas.

Certains sites vous promettent : « Contracture au trapèze -traitement rapide et efficace »… C’est joli et attractif, mais si la réalité était telle, cela se saurait depuis longtemps or, pour ne citer que la Belgique : 940 000 personnes sont considérées comme « douloureux chroniques ». Paroles, paroles, paroles…

Après 37 ans d’efforts pour trouver les meilleurs moyens de me soulager ou soulager (parfois guérir) les douleurs « musculo-squelettiques » des autres et après plus de 20 ans de pratique de  L’Orthopédie Générale selon Cyriax, j’ai décidé de partager progressivement mes connaissances à l’intention de ceux qui souffrent (et qui se sentent si souvent abandonnés).

En ce mois de mai 2019, une charmante dame m’expliquait le « protocole » de chacune de ses très nombreuses séances de kinésithérapie qu’elle « subit » depuis très longtemps : fango sur les muscles trapèzes, électrothérapie sur les trapèzes (elle ne sait pas donner plus de détails, car on ne lui a jamais rien expliqué), massages appuyés sur les zones contracturées…
Elle ne s’améliore pas (elle s’empire même) et, comme vous le comprendrez en lisant mon site, cette attention aux muscles trapèzes est une ineptie, car s’il y a plus de 70 ans « on » (Cyriax) soupçonna que ces muscles ne souffraient d’aucune pathologie (muscles trapèzes = victimes, ou témoins), les techniques d’imagerie modernes (en particulier l’échographie ou l’IRM) n’y trouvent, aujourd’hui, aucune pathologie.

L’Orthopédie Générale :
Tout a commencé lorsqu’un chirurgien orthopédiste (le docteur James Cyriax) s’intéressa, à partir de 1941, à ses propres échecs et à ceux de ses confrères (pensez-donc : on opérait des « hernies discales » sur base de radio !!!).
Il se préoccupa aussi de tous ces « douloureux » qui n’intéressaient pas les chirurgiens et étaient « abandonnés » (déjà).
10 ans de travail acharné lui permirent de jeter les bases d’une branche de la médecine qui n’existait encore nulle part (malheureusement, cela n’a pas beaucoup changé -sauf en Scandinavie).
Il abandonna la chirurgie, sortit les kinésithérapeutes des caves de son hôpital et il leur apprit tout ce qu’il avait conquis afin d’en faire des collaborateurs…
Depuis lors, l’orthopédie générale devrait se pratiquer en équipe (au minimum : un médecin + un kinésithérapeute).

Le docteur James Cyriax au travail (archive)
Un exemple de traction cervicale

 

Je tiens tout particulièrement à cette démarche, car -à cause des décisions politiques et des errements des thérapeutes le coût des douleurs chroniques ne cesse d’augmenter ainsi que le nombre de « fibromyalgiques » (nouvelle entité dont la réalité est encore très discutée, qui remplira bientôt des centres spécialisés et qui constitue peut-être la conséquence de la mauvaise prise en charge des patients douloureux chroniques et de l’ignorance quasi absolue de la notion de la douleur projetée en orthopédie générale = l’orthopédie non chirurgicale).

J’espère permettre, à tous, d’accéder à ce qui -de mon point de vue- se fait de mieux dans le domaine de la prise en charge des douleurs « communes » (celles, par exemple, que vous attribuez à vos « rhumatismes »). Comprendre aussi ce qu’est l’arthrose.
J’ai aussi l’intention de démystifier certaines croyances ou certaines peurs  (par exemple au sujet de la cortisone) en un langage simple, précis et logique afin que nous puissions parler la « même langue ». Bref : que cette spécialité du monde médical vous paraisse moins opaque.

Vous l’aurez compris : ce site est conçu pour ceux qui « souffrent » et qui ont souvent l’impression de se perdre dans le labyrinthe médical (ou « pseudomédical »).
À ce propos, je vous invite à découvrir le périple, somme toute assez banal, d’un « douloureux » qui vous ressemble peut-être : Itinéraire d’un adolescent blessé. Cet adolescent dut attendre 25 ans avant d’être compris et traité correctement. Aujourd’hui -avec les mêmes symptômes-, il serait sûrement étiqueté comme fibromyalgique.

Vous comprendrez aussi, je l’espère, la différence entre un protocole d’examen technique (radio, scanner, IRM) et une hypothèse diagnostique qui doit émerger à l’issue d’une consultation bien menée et d’un examen clinique standardisé (exemple).

De plus, je vous invite à réfléchir au problème de la position assise. En effet, malgré les nombreux travaux scandinaves (qui débutèrent dans les années 70), nous en sommes encore à subir le dictat des normes, de l’orthogonalité et de l’immobilité.

Ajout en date du 8 novembre 17.
Je ne m’en suis rendu compte que récemment : si le docteur Cyriax initia une révolution, celle-ci n’est pas suffisante. En effet, comme toutes les révolutions, pour qu’elles soient intégrées par le plus grand nombre, il faut répéter, répéter et toujours répéter. Cette répétition, ou cette lassitude, de la répétition fut le moteur de la rédaction de ce site, car je croyais naïvement qu’il suffirait que les patients lisent (et relisent) les posts qui les concernent pour comprendre un peu mieux ou un peu plus facilement les concepts de la Médecine Orthopédique… Mais.
Contrairement à ce que j’imaginais, ce site n’aide que très relativement les « douloureux » (surtout ceux qui m’intéressent le plus : les polydouloureux chroniques)… Je continue à devoir répéter, répéter et encore répéter. Et c’est fatigant (exemple : les muscles trapèzes ne souffrent d’aucune pathologie, jamais). Cependant, je me suis un peu apaisé à la lecture de ceci :
« L’auteur n’a pas ménagé sa peine pour présenter les idées fondamentales d’une manière aussi claire et simple que possible et, en gros, dans l’ordre et la connexion dans lesquels elles ont réellement pris naissance. Dans l’intérêt de la clarté, il m’a paru inévitable de me répéter souvent, sans me soucier le moins du monde de donner à mon exposé une forme élégante; j’ai consciencieusement suivi l’avis du théoricien génial L. Boltzmann, de laisser le souci d’élégance aux tailleurs et aux cordonniers. Je ne crois pas avoir caché au lecteur les difficultés inhérentes au sujet »
Extrait de « La relativité : théorie de la relativité restreinte et générale ; la relativité et le problème de l’espace » Albert Einstein.

En aussi bonne compagnie, je me résigne donc, désormais joyeusement, à écrire, à réécrire.
Et à répéter, répéter et encore répéter.

Vous pouvez bien sûr m’interpeller… J’essaierai de répondre !

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Pour les professionnels : Le coin ces pros
Sections protégées par un mot de passe + menu déroulant. Ces sections sont destinées aux kinésithérapeutes qui suivent (ou ont suivi) une formation complémentaire en Médecine Orthopédique selon le docteur Cyriax.

Parenthèse
Si, comme moi, vous aimez la mer, la nature,
la marche, le vent, les marchés, le regard qui se perd à l’horizon,
le soleil (plus souvent qu’on ne l’imagine), cliquez ci-dessous.Capture d’écran 2015-02-06 à 12.00.39

 

 

 

 

 

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87 commentaires sur “ACCUEIL

  1. Coualy dit :

    Bonjour
    J’ai une capsulite rétractive qui revient naturellement tous les 2 mois. Épaule gauche le plus souvent.
    Par exemple si un kine me fait un MTP au niveau des trapèzes cela me déclenche une capsulite
    La moindre sollicitation de ce genre (pression)réveille la douleur. Qu’en pensez vous ?

  2. Sandra Munsch dit :

    Bonjour Mr Seghin,
    Je vous remercie tout d’abord pour votre article très intéressant et très bien expliqué.
    Cela fait quelques années (4) que je souffre de l’épaule a l’époque ma radio n’as rien montré les douleurs sont devenus très intenses suite à mon COVID ++ en 2022 donc on a fait de nouvelles recherches qui m’ont diagnostiqué une névralgie cervicale braquiale, j’avais mal des cervicales jusqu’au doigts, et on a découvert par la même occasion que j’ai de la polyarthrite rhumatoïde et une inflammation de la boursite non calcifiante ( vu a l’écho)
    Je fais de la kiné depuis maintenant 8 mois 2 fois par semaine, les douleurs cervicales se sont calmé, mais mon épaule j’ai l’impression que je n’en finirai jamais. Mon rhumatologue me dit que ça passera avec le traitement de la polyarthrite, mon kiné me dit que ce n’est pas une inflammation de la boursite et mon médecin ne sais plus trop quoi faire pour m’aider malgré tout ces efforts ( c’est grâce à son insistance auprès des rhumatologues qu’on a découvert d’où venais toute mes douleurs un peu partout dans mes articulations depuis quelques années)
    Je vous remercie par avance si vous avez une proposition à me suggérer afin que j’en parle avec mon médecin.
    Bonne soirée.
    Cordialement Sandra

  3. Arfouni dit :

    Bonsoir,

    Mon fils de 6 ans souffre d’une osteochondrose ischio pubienne ( maladie de van neck odelberg) après 3 mois d’arrêt les médecins l’ont autorisé à reprendre. Je suis inquiet car il ne boîte plus du tout. Mais à mal à la palpation… que dois je faire ? Prolonger l’arrêt du sport car il pratique du football en club ou bien le laisser reprendre malgré les douleurs de palpation.

    Cordialement.

  4. Breton dit :

    Merci pour tous ces renseignements. J’ai eu un accident de vélo le 08 mars 2021, une voiture qui rentrée dans un rond-point m’a foncée dessus, beaucoup de blessures, trauma crânien, déchirure du biceps fémorale, arrachement de la pâque palmaire et beaucoup de morceaux de peaux arrachées. Je me suis toujours plein de mon épaule droite, côté ou là voiture m’a percutée, suite à une radio et une échographie, on me trouve une arthropathie acromio claviculaire dégénérative modérée et une enthesopathie calcifiante des tendons supra, infra épineux et subscapulaire avec une douleur élective au passage de la sonde le long du tendon. Pouvez vous m’aider ou me conseiller, l’expert de l’assurance va sûrement dire que je vieillis, alors que je n’avais aucune douleur. Ce chauffard à failli me tuer et n’ai fait aucune faute.
    Merci à vous
    gilles150183@yahoo.fr

  5. Bévilacqua dit :

    Bonjour je viens de parcourir votre site car je suis atteinte de discopathie dégénérative la l5 et les et j ai 2 hernies discales minimes, lombosciatique plus arthrose et scoliose bref la totale, je viens d effectuer une infiltration et j en ai une seconde le 2 août mais pensez vous qu une péridurale basse peut être plus efficace qu une deuxième infiltration ???? En tous cas si vous avez des conseils à me donner je suis preneuse

    • Clot Georges dit :

      Ma petite fille de 16ans boîte et souffre depuis 2ans suite à une entorse de la cheville.
      Elle multiplie les radios, irm, scanner et traitements: RIEN
      Les médecins disent que c’est psychologique mais je n’y crois pas.
      Comment avoir un bon diagnostic?

      • Bonjour,

        « Entorse » veut dire « tordu ». Ce n’est donc pas un diagnostic, mais la description de ce qu’il s’est passé.
        On peut se tordre la cheville et :
        – se déchirer partiellement un ligament
        – se déchirer totalement un ligament
        – souffrir d’un arrachement osseux
        – souffrir d’une fissure ou d’une fracture,
        etc..
        Normalement une « entorse » à 16 ans guérit quasiment toute seule.
        Vous avez fait radios, IRM, scanner, mais (apparemment) pas d’échographie ni de scintigraphie.
        Échographie : mise en évidence de lésions ligamentaires.
        Scintigraphie : mise en évidence de possibles lésions osseuses (notamment, les fissures qui ne se voient pas à la radio.)
        Je vous invite aussi à écarter l’explication psy.

        Cordialement,

        Yves Seghin

  6. Yohann dit :

    Bonjour,

    J’ai parcouru avec attention votre site et plus particulièrement sur la douleur.

    J’ai pu également comprendre que vous êtes un amoureux de la nature. Je le suis également.

    Un amoureux de la nature qui ne peut plus la parcourir sans que ne se manifeste cette douleur.

    En effet en 2017 durant un entrainement pour un énième marathon j’ai ressenti une douleur sous le premier métatarse. j’ai fait une pause et ai tout de même réaliser ce marathon malgré la douleur ( le pire de ma vie).

    Après ce marathon j’ai réalisé divers examens (radios= RAS, écho+ IRM = bursite) après 1 an cette douleur perdurant, je me suis rendu à l’ICP de Rennes où une scintigraphie a été réalisée = ^¨sésamoïde latéral déplacé, déformé et nécrosé sur la partie antérieure. Tout cela fait suite à une fracture de fatigue non décelé sur la première radio pourtant présente, ce qui a eu pour conséquence une non vascularisation de la partie antérieure du sésamoïde et donc de sa nécrose, déformation et déplacement, étirement (les tendons court fléchisseur de l’hallux tire en effet les sésamo¨de vers l’arrière).

    J’ai eu 4 infiltrations au CHP de Rennes jusqu’à maintenant. Le résultat est à chaque fois le même : l’inflammation disparait sous l’effet des corticoïdes et la décharge induite par cette pratique (arret de travail 48h). Et après 2 à 3 semaines les douleurs reviennent.

    Après 3 ans de douleur et de recherches sur le sujet (lecture de thèses etc…) Je perçois clairement ce qu’il se passe.
    Le sésamoïde a en effet de rôles très important dans le déroulé et l’amorti du pied. 1er rôle, actif lors de la propulsion, les sésamoïdes ont un rôle de poulie vis à vis du long fléchisseur de l’Hallux pour décupler la force du fléchissement du gros orteil et ainsi propulser l’ensemble du pied( je suis pronateur tardif extrème avec un pied creux dû en partie à l’inflammation et la tension de ce tendon long fléchisseur de l’hallux qui accentue l’arche sous le pied. le deuxième rôle de ces sésamoïdes est passif lors de l’amorti : en effet il serve de protection pour ce même tendon long fléchisseur de l’hallux. lors du « choc » contre le sol, ce tendon « roule » entrecontre la capsule liant le sésamoïde latéral et médial et est ainsi protégé.

    Je suis donc en plein dans un cercle vissieux : les infiltrations calment l’inflammation des tendons et du sésamoïde puis au bout de quelques semaines, le tendons LFH « roulant sur un sésamoïde deux fois plus gros que la normale de part sa déformation et présentant des pic, ce LFH frotte contre le sésamoïde, s’irrite, s’enflamme, s’épaissi, rend le pied encore plus crreux ce qui sollicite encore plus ce sésamoïde etc… etc… Je ne peux plus marcher sans douleur,

    J’ai étudier l’ablation de ce sésamoïde, il se fait avec des règles importantes : passer par le côté dorsale du pied pour ne pas laisser de cicatrice sous la plante de pied et endommager la plaque plantaire. Effectuer une ouverture entre le 1er et 2eme métatarse, soulever la capsule sésamoïdienne, libérer ce sésamoïde latéral « noyé » dans ce système tendineux et après radio pour éliminer tout résidu oublié, bien recoudre avec 3 points de fil résorbable cette capsule sésamoïdienne » pour éviter une libération de l’hallux pouvant induire un hallux vagus à l’avenir. Enfin finir en refermant avec fil non sésorbable. Bon c’est plus complexe que cela mais je résume.

    Aucun des chirurgiens de Rennes ne veut le faire. Sur PAris il semble que cela soit réalisé (DC PINARD, Dct. Touzard)

    Depuis 2017 je ne cours plus, ai arreté mes sport favoris, ne peut me ballader avec mes enfants sans le regretter le soir apès la ballade. Je vis avec cette douleur mais en ai marre.

    Avez vous déjà eu le cas de cette douleur ancrée dans ce cercle vicieu ? Merci.
    J’écris également tout cela pour aider et faire avancer d’autres personne dans le même cas. (j’ai passé des centaine d’heures à étudier tout ça de puis trois ans…)

    • Yohann dit :

      Bonjour,

      J’ai parcouru avec attention votre site et plus particulièrement sur la douleur.

      J’ai pu également comprendre que vous êtes un amoureux de la nature. Je le suis également.

      Un amoureux de la nature qui ne peut plus la parcourir sans que ne se manifeste cette douleur.

      En effet en 2017 durant un entrainement pour un énième marathon j’ai ressenti une douleur sous le premier métatarse. j’ai fait une pause et ai tout de même réaliser ce marathon malgré la douleur ( le pire de ma vie).

      Après ce marathon j’ai réalisé divers examens (radios= RAS, écho+ IRM = bursite) après 1 an cette douleur perdurant, je me suis rendu à l’ICP de Rennes où une scintigraphie a été réalisée = ^¨sésamoïde latéral déplacé, déformé et nécrosé sur la partie antérieure. Tout cela fait suite à une fracture de fatigue non décelé sur la première radio pourtant présente, ce qui a eu pour conséquence une non vascularisation de la partie antérieure du sésamoïde et donc de sa nécrose, déformation et déplacement, étirement (les tendons court fléchisseur de l’hallux tire en effet les sésamo¨de vers l’arrière).

      J’ai eu 4 infiltrations au CHP de Rennes jusqu’à maintenant. Le résultat est à chaque fois le même : l’inflammation disparait sous l’effet des corticoïdes et la décharge induite par cette pratique (arret de travail 48h). Et après 2 à 3 semaines les douleurs reviennent.

      Après 3 ans de douleur et de recherches sur le sujet (lecture de thèses etc…) Je perçois clairement ce qu’il se passe.
      Le sésamoïde a en effet de rôles très important dans le déroulé et l’amorti du pied. 1er rôle, actif lors de la propulsion, les sésamoïdes ont un rôle de poulie vis à vis du long fléchisseur de l’Hallux pour décupler la force du fléchissement du gros orteil et ainsi propulser l’ensemble du pied( je suis pronateur tardif extrème avec un pied creux dû en partie à l’inflammation et la tension de ce tendon long fléchisseur de l’hallux qui accentue l’arche sous le pied. le deuxième rôle de ces sésamoïdes est passif lors de l’amorti : en effet il serve de protection pour ce même tendon long fléchisseur de l’hallux. lors du « choc » contre le sol, ce tendon « roule » entrecontre la capsule liant le sésamoïde latéral et médial et est ainsi protégé.

      Je suis donc en plein dans un cercle vissieux : les infiltrations calment l’inflammation des tendons et du sésamoïde puis au bout de quelques semaines, le tendons LFH « roulant sur un sésamoïde deux fois plus gros que la normale de part sa déformation et présentant des pic, ce LFH frotte contre le sésamoïde, s’irrite, s’enflamme, s’épaissi, rend le pied encore plus crreux ce qui sollicite encore plus ce sésamoïde etc… etc… Je ne peux plus marcher sans douleur,

      J’ai étudier l’ablation de ce sésamoïde, il se fait avec des règles importantes : passer par le côté dorsale du pied pour ne pas laisser de cicatrice sous la plante de pied et endommager la plaque plantaire. Effectuer une ouverture entre le 1er et 2eme métatarse, soulever la capsule sésamoïdienne, libérer ce sésamoïde latéral « noyé » dans ce système tendineux et après radio pour éliminer tout résidu oublié, bien recoudre avec 3 points de fil résorbable cette capsule sésamoïdienne » pour éviter une libération de l’hallux pouvant induire un hallux vagus à l’avenir. Enfin finir en refermant avec fil non sésorbable. Bon c’est plus complexe que cela mais je résume.

      Aucun des chirurgiens de Rennes ne veut le faire. Sur PAris il semble que cela soit réalisé (DC PINARD, Dct. Touzard)

      Depuis 2017 je ne cours plus, ai arreté mes sport favoris, ne peut me ballader avec mes enfants sans le regretter le soir apès la ballade. Je vis avec cette douleur mais en ai marre.

      Avez vous déjà eu le cas de cette douleur ancrée dans ce cercle vicieu ? Merci.
      J’écris également tout cela pour aider et faire avancer d’autres personne dans le même cas. (j’ai passé des centaine d’heures à étudier tout ça de puis trois ans…)

      Désolé pour l’orthographe.

      • Bonjour,

        Je me permets de tenter quelques pistes dans votre texte :

        Bonjour,
        J’ai parcouru avec attention votre site et plus particulièrement sur la douleur.
        J’ai pu également comprendre que vous êtes un amoureux de la nature. Je le suis également.
        Un amoureux de la nature qui ne peut plus la parcourir sans que ne se manifeste cette douleur.
        En effet en 2017 durant un entraînement pour un énième marathon j’ai ressenti une douleur sous le premier métatarse. J’ai fait une pause et ai tout de même réalisé ce marathon malgré la douleur (le pire de ma vie).
        Après ce marathon j’ai réalisé divers examens (radios= RAS, écho+ IRM = bursite) après 1 an cette douleur perdurant, je me suis rendu à l’ICP de Rennes où une scintigraphie a été réalisée = sésamoïde latéral déplacé, déformé et nécrosé sur la partie antérieure. Tout cela fait suite à une fracture de fatigue non décelée sur la première radio pourtant présente, ce qui a eu pour conséquence une non vascularisation de la partie antérieure du sésamoïde et donc de sa nécrose, déformation et déplacement, étirement (les tendons court fléchisseur de l’hallux tire en effet les sésamoïdes vers l’arrière).

        Je ne peux que regretter que « l’on » n’ait pas tout de suite pensé à une fissure/fracture de fatigue, car c’était le diagnostic le plus plausible. Mais les « choses » se sont empirées puisqu’il s’agit maintenant de nécrose.

        J’ai eu 4 infiltrations au CHP de Rennes jusqu’à maintenant. Le résultat est à chaque fois le même : l’inflammation disparaît sous l’effet des corticoïdes et la décharge induite par cette pratique (arrêt de travail 48h). Et après 2 à 3 semaines, les douleurs reviennent.

        Là, je dois dire que je ne comprends pas. En effet, on évite toujours d’infiltrer (corticoïdes) lorsqu’il y a suspicion d’atteinte osseuse, car les corticoïdes « grignotent » toujours un peu l’os (idem pour les tendons).

        Après 3 ans de douleur et de recherches sur le sujet (lecture de thèses, etc.) Je perçois clairement ce qu’il se passe.
Le sésamoïde a en effet de rôles très important dans le déroulé et l’amorti du pied. 1er rôle, actif lors de la propulsion, les sésamoïdes ont un rôle de poulie vis-à-vis du long fléchisseur de l’Hallux pour décupler la force du fléchissement du gros orteil et ainsi propulser l’ensemble du pied (je suis pronateur tardif extrème avec un pied creux dû en partie à l’inflammation et la tension de ce tendon long fléchisseur de l’hallux qui accentue l’arche sous le pied.) Le deuxième rôle de ces sésamoïdes est passif lors de l’amorti : en effet il serve de protection pour ce même tendon long fléchisseur de l’hallux. Lors du « choc » contre le sol, ce tendon « roule » entrecontre la capsule liant le sésamoïde latéral et médial et est ainsi protégé.
        Vous avez très bien compris son rôle quand il est intègre, mais aujourd’hui il s’agit de nécrose et de ses conséquences. Il faudrait donc aborder le problème autrement.
        Je suis donc en plein dans un cercle vicieux : les infiltrations calment l’inflammation des tendons et du sésamoïde puis au bout de quelques semaines, le tendon LFH « roulant sur un sésamoïde deux fois plus gros que la normale de part sa déformation et présentant des pic, ce LFH frotte contre le sésamoïde, s’irrite, s’enflamme, s’épaissit, rend le pied encore plus creux ce qui sollicite encore plus ce sésamoïde, etc… etc. Je ne peux plus marcher sans douleur,
        J’ai étudié l’ablation de ce sésamoïde, il se fait avec des règles importantes : passer par le côté dorsal du pied pour ne pas laisser de cicatrice sous la plante de pied et endommager la plaque plantaire. Effectuer une ouverture entre le 1er et 2e métatarse, soulever la capsule sésamoïdienne, libérer ce sésamoïde latéral “noyé” dans ce système tendineux et après radio pour éliminer tout résidu oublié, bien recoudre avec 3 points de fil résorbable cette capsule sésamoïdienne pour éviter une libération de l’hallux pouvant induire un hallux valgus à l’avenir. Enfin finir en refermant avec fil non résorbable. Bon c’est plus complexe que cela, mais je résume.
        Aucun des chirurgiens de Rennes ne veut le faire. Sur Paris il semble que cela soit réalisé (DC PINARD, Dct. Touzard)
        Depuis 2017 je ne cours plus, ai arrêté mes sports favoris, ne peux me balader avec mes enfants sans le regretter le soir après la ballade. Je vis avec cette douleur, mais en ai marre.

        C’est effectivement la voie de l’ablation qu’il faut suivre, mais la Médecine Orthopédique en ce genre de circonstance s’en serait tenue à poser au plus vite le diagnostic (facture/fissure), donner des conseils et éviter de nuire. Je ne suis donc pas qualifié pour donner un avis documenté sur cette chirurgie.
        Par contre, je peux évoquer une piste. Vous avez bien compris la biomécanique de la marche et de la course et, effectivement le pied quitte le sol par le gros orteil + le déroulé que vous avez compris et auquel participe les sésamoïdes, évidemment. Alors : voici la proposition que je fais toujours quand les gens se plaignent de douleurs à l’avant-pied ou au gros orteil (hallus valgus par exemple) : trouver des chaussures qui permettent d’éviter ce déroulé final. Pour ce faire : chaussures à semelles très rigides comme les chaussures de marche en montagne (notez bien que ces chaussures ont des semelles rigides afin d’éviter que la marche en terrain difficile ne traumatise l’avant-pied.)
        Donnez-moi de vos nouvelles.

        Au plaisir,

        Yves Seghin

        • Yohann dit :

          Merci votre réponse rapide.
          Concernant les chaussures je comprends le principe d’empêcher au maximum le déroulé du pied afin de limiter la dynamique du 1er métatarse et vous remercie du conseil. Par contre qui dit rigide signifie également moins ou pas d’amorti. En effet trouver des chaussures à la fois rigide et molle sous le sesamoide est mission impossible car même avec mes orthèses comprenant une Brc( barre rétro capitale) et un évidement + coussinet, il me faut du « mou » sous le sesamoide au niveau de la chaussure. Il n’y a que mes chaussures de secu « bizarrement » qui sont nickel. Pas si bizarre en fin de compte car elles sont rigides de par la plaque métallique incorporée dans la semelle pour éviter les perforation par clou ou autre et à la fois molle ( couche de mousse au dessus de cette plaque).
          Mais cela reste palliatif. C’est vraiment la grosseur du sesamoide qui bloque toute guérison et endommage le reste.

          Oui la biomécanique est passionnante surtout au niveau du pied et de sa complexité (croisement des tendons, vascularisation, équilibre et conséquence sur le reste du corps). De métier je travail sur la mécaniques, robotique et automatisme donc au quotidien si il y a une panne, j’analyse l’ensemble pour comprendre le système et trouve la meilleure solution. C’est une déformation professionnelle. Mais ici on parle de du corps humain, c’est beaucoup moins cartésien mais tout aussi voir plus passionnant.

          Concernant les infiltrations j’ai déjà soumis le risque au chirurgien et médecin du sport en traumato à l’Iphone. Et ils m’ont dit que c’était que 4 par an. Et intra articulaire(au contact de l’os en radioguidé puis infiltration) personnellement d’après tout ce que j’ai lu, je me refuse aujourd’hui à en réaliser de nouvelles. Mais la douleur augmente et je suis dans l’impasse. Un rdv sur Paris avec un chirurgien dans un cabinet m’inspire peu d’un point de vu financier. Les tarif sont hallucinant. Et dans ma région j’ai frappé à la porte de l’icône de Rennes donc je ne vois pas mieux localement…
          En parallèle j’essaie de passer souvent ma plante de pieds sous l’arche car c’est une vrai corde au niveau de ce tendon et mon pied se Creuse comme un arc tendu…
          C’est moi qui en faisant les recherches ai détecté la fissure sur la radio un an après. J’ai appris à utiliser et traiter des fichier DIcom pour la visu du sesamoide en 3D, il est massacré…

          Merci en tout cas. Une écoute même si cela ne résoudra pas le problème est toujours positive. Et encore une fois cela résoudra peut-être un questionnement chez d’autres personnes.

          • L’hypothèse de fissure/fracture aurait dû être évoqué dès le début.
            Je ne comprends pas que l’on ait pratiqué des infiltrations.
            Si vos chaussures de sécurité vous aident : pourquoi ne pas les utiliser tout le temps + semelles Sorbothan dans la chaussure.
            Chirurgie : prudence +++

            • Yohann dit :

              Merci pour ces compléments d’infos, j’ai été me procurer une paire de chaussure de rando montagne à semelle peu flexible cet après midi. Donc je verrais si mieux ou pas.
              Que pensez vous des ondes de chocs plus au niveau du sesamoide que du tendon ? Cela peut il arrondir les bords deformés et irritant du sesamoide selon vous ? Car je sens bien que ma douleur a évolué en 3 ans. Plus vive au début (origine sesamoide) et plutôt lancinante, tension douloureuse, gêne comme un caillou sous le pieds(origine tendon et encombrement trop important du sesamoide deformé) si cela vous intéresse je peux vous transmettre une image éditée à partir des fichier de la scintigraphie, si vous avez une adresse mail.

  7. Pascale Durand dit :

    Bonjour, j’ai 56 ans. J’ai fait une chute sur le dos (sur de la glace) il y presque deux ans (jour de l’an 2019). J’ai ressenti immédiatement que la zone affectée était sacro-iliaque/lombaire, côté gauche. S’ensuivirent des spasmes au dos. Deux mois plus tard, j’ai été (mal) manipulée par un ostéo. Depuis son intervention à lui, j’ai également un problème de sciatique le long de la jambe gauche. en mars 2020, j’ai accepté une infiltration de cortisone par une physiatre au sacro-iliaque. Apres ca, je n’ai pas pu marcher pendant 1 mois et j’ai encore maintenant une douleur très accrue dans la région lombaire/sacro-iliaque). La physiatre a dit que la méthode invasive ne m’avait pas convenu après tout et n’a rien préconisé de plus, sauf de voir un ostéopathe. Moi ce que je me demande c’est s’il s’agit d’une rupture causée par l’aiguille (l’infiltration était extrêmement douloureuse, mais la physiatre a dit que c’était bon signe qu’on avait reproduit la douleur), est-ce habituellement permanent (la rupture, la douleur), ou cela se répare-t-il? Car cela fait 3 mois, et cette nouvelle douleur est encore intense. Merci!

    • Madame,
      Votre parcours me laisse pantois et je vais essayer de vous donner quelques pistes.
      Tout d’abord, il s’agit d’un choc violent et, en ce genre de circonstances, il est normal de s’enquérir de l’intégrité des os (lombaires, bassin). Et ceci, non seulement juste après le trauma, mais aussi après 10 ou 15 jours si les douleurs ne changent pas ou si elles s’empirent.
      Donc : première hypothèse (à conserver en tête si on ne l’a pas évoquée en son temps) : une fracture/fissure (lombaires, bassin ?). Cette hypothèse est à envisager très sérieusement, car vous êtes une femme et à cause de votre âge !!!

      Ensuite, il est tout à fait étonnant que vous ayez été manipulée puisque vous ne faites pas mention d’une hypothèse diagnostique. De plus, si l’on n’avait pas écarté la cause osseuse (voir plus haut), toute manipulation pouvait constituer un traumatisme de plus (d’autant que les ostéopathes « croient » en la possibilité de « manipuler » la sacro-iliaque, ce qui est… tout à fait FAUX.)

      Vous parlez de sciatique à la suite de la visite chez l’ostéopathe, mais il faudrait savoir si le test de Lasègue était positif. S’il ne l’était pas, il s’agirait alors de sciatalgie… autrement dit de douleurs dans le territoire sensitif du sciatique dont il faudrait trouver la cause (ligamentaire lombaire, sacro-iliaque, osseuse ???…)

      Vous dites aussi avoir accepté une infiltration au niveau de la SI. À ce sujet, il faut être très précis :
      – une douleur au niveau de la SI ne veut pas dire que la SI est la cause, car il peut s’agir de douleurs projetées (par ex de la colonne lombaire).
      – pour envisager une telle infiltration, il faut que le test d’instabilité (test classique et facile en Médecine Orthopédique) soit contributif. Mais il vaut mieux, en ce cas, réaliser une scintigraphie pour évaluer l’importance de l’inflammation. Cette technique a aussi l’avantage de lever tout soupçon (ou l’inverse) quant à l’intégrité de vos os (lombaires et bassin).
      – Une infiltration SI peut faire mal, mais pas à ce point et, surtout, la douleur ne peut pas perdurer. Au contraire, on doit en sentir les bénéfices très vite (48 à 72 heures).
      – et vous dites que la douleur a augmenté. Ce point mérite que l’on s’attarde un peu. Une infiltration a, essentiellement, un but anti-inflammatoire, mais les corticoïdes ont aussi un petit effet lytique (grignotage). Ainsi, quand on décide de pratiquer une infiltration, on fait un rapide calcul du rapport-bénéfice/inconvénients. Bref, la douleur a augmenté et cela pourrait étayer une hypothèse osseuse (dont j’ai parlé plus haut) puisque les corticoïdes « grignotent » un peu l’os. D’où l’importance, même aujourd’hui de réaliser les RX standards de la colonne lombaire + bassin + SI et de faire une scintigraphie. Attention, je n’ai pas dit que les infiltrations étaient nocives, j’ai seulement dit qu’il faut bien réfléchir avant de les pratiquer et, surtout, de se demander pourquoi le patient est empiré après une infiltration. Bref, profiter de l’échec pour revoir toute la problématique et penser autrement en intégrant « l’échec ».

      Vous dites que vous devriez revoir un ostéopathe. Et là, c’est insupportable à lire. En effet, après l’échec de l’infiltration (donc, sans doute, de l’hypothèse diagnostique) on vous renvoie chez un ostéopathe sans nouvelle piste diagnostique, et alors même que votre première consultation chez l’ostéopathe vous avait empiré !!!

      Et enfin : NON il n’est pas normal que cette douleur soit aussi intense après 3 mois. Mais cela me donne encore l’occasion de penser à vos os (lombaires, bassin, SI). En effet, s’il y eut fissure/fracture et que l’infiltration vous a empiré, il ne faut pas oublier que la marche est extrêmement contraignante mécaniquement. Pour vous donner une idée, si vous grossissez de 1 kg, à chaque pas vos hanches subissent des contraintes de 10 kgs en plus (et cela doit être assez semblable au niveau de la SI).

      En espérant vous avoir éclairé un peu… malgré la frustration de ne pouvoir vous examiner (car je considère que votre parcours est tragique) !

      Yves Seghin

      • Pascale Durand dit :

        Bonjour, merci beaucoup pour vos commentaires et votre encouragement à poursuivre la recherche d’un diagnostic. Je ne voulais vous inonder d’information, mais je vois que j’aurais dû en mettre un peu plus. Deux jours après l’accident, sur la recommandation de mon amie physiothérapeute retraitée, je me suis rendue à l’hôpital pour une radio. Le résultat n’inquiétait pas les médecins que j’ai vus une semaine plus tard, puis deux semaines plus tard. Après ça, j’étais aux mains de mon médecin de famille, auquel je n’avais tout simplement pas accès, car malgré mon insistance, il a refusé de me voir, car son horaire était plein. Le résultat de la radio :
        « Il y a une petite avulsion du coin antéro-supérieur vertébral de L4. Il est difficile de dire s’il s’agit d’une vertèbre limbique ou d’une fracture d’un ostéophyte car je n’arrive pas à voir un contour cortiqué complet. Il n’y a pas de tassement du corps vertébral ou de mal alignement. Arthrose facettaire modérée multiétagée. Préservation de la hauteur des disques. »

        Mi-février (six semaines après la chute), étant donné que je n’avais pas accès à mon médecin de famille, encore une fois sur recommandation de la physiothérapeute retraitée, je suis allée dans une clinique sans rendez-vous oÙ j’ai dû insister pour obtenir l’imagerie médicale. Les résultats se sont rendus chez le médecin de la clinique sans rendez-vous et mon médecin de famille. Personne ne m’a contactée, donc je pensais que tout était correct. Désolée le résultat de l’imagerie médicale est en anglais (je suis à montréal). En titre, c’est marqué : Fracture L4 possible. Conclusion : Chronic very mild L4 chip fracture or limbus vertebra, with no acute fracture or other abnormality. Presumed vertebral hemangiomata from T12 to L2. While these are almost certainly benign and stable dating back many years, one could consider comparison with a frontal radiograph to attempt to confirm the identity definitively.

        Findings:
        vertebral body heights are maintained and there is no acute fracture. The contour irregularity at the anterosuperior corner of L4 remains enchanged since 2013, in keeping with a chronic fracture or an incidental limbus vertebra. There are three vertebral lesions, at T12, L1 and L2, that at L2 occupying most of the vertebral body and measuring approximately 2.4 cm in diameter. All three are slightly heterogeneously T2 hyperintense with varying degrees of T1 hyperintensity, in keeping with benighn hemangiomata, the largest such lesion at L2 being retrospectively visible on prior radiographs. The conus medullaris and cauda equina are unremarkable.
        At T12-L1, there is a mild diffuse disc bulge with no appreciable stenosis.
        From L1-L2 to L3-L4, there is no significant abnormality.
        At L4-L5, there is a minimal diffuse disc bulge, as well as bilateral facet arthrosis and mild thickening of the ligamenta flava but no significan central or foraminal stenosis nor nerve root impingement.
        At L5-S1, thre is no significant abnormality.

        En raison du commentaire: « While these are almost certainly benign and stable dating back many years, one could consider comparison with a frontal radiograph to attempt to confirm the identity definitively. » mon médecin de famille m’a fait faire une 2e radio frontale cette fois. Résultat : Vertebral body alignment is normal and disc spaces are maintained. No fracture, significant degenerative change or paraspinal soft tissue swelling is evident. Impression: No significant pathology revealed.

        en novembre 2019, j’avais obtenu en allant à une autre clinique sans rv une visite chez un orthopédiste associé à une clinique de physiothérapie. Il m’a examinée et m’a recommandé la physio. Après l’expérience avec l’ostéopathe, la première chose que j’ai dite au physiothérapeute, c’était que je ne voulais pas être manipulée. Il m’a donné quelques exercices, mais ça n’avait pas amélioré beaucoup mon état.

        J’avais demandé de voir un physiatre. J’étais sur une liste d’attente pendant presque un an pour un diagnostique. La jeune physiatre a demandé une 2e imagerie qui a été faite en février 2020

        IRM COLONNE – COLONNE LOMBAIRE [LOMBO-SACRÉE] (C-) MRI SPINE – LUMBAR SPINE (C-) Renseignements cliniques: Lombosciatalgie gauche. Technique: L’examen a été réalisé selon le protocole standard sans contraste. Résultats de l’examen: Alignement vertébral, signal de la moelle osseuse, signal des disques, cône médullaire et la queue de cheval sont d’aspect normal. On note accessoirement un hémangiome osseux/bénin intéressant le corps vertébral L2. De L1 à S1, aucune anomalie significative des disques, du canal central/sac thécal, des trous de conjugaison ou des articulations facettaires n’est décelée. Opinion: Pas de protrusion discale, sténose ou autre pathologie significative décelée.

        C’est après un examen physique qu’elle a conclu que c’était la sacro-iliaque qui était en cause, bien que j’avais rarement mal à cet endroit-là. Elle a immédiatement recommandé une infiltration, sans présenter les avantages et les inconvénients. Mais comme j’ai dit, la douleur n’a fait qu’augmenter. La physiatre a dit qu’elle était prête à me revoir dans 3 ou 6 mois, mais ne semblait pas intéressée à poursuivre un diagnostic, me disant que ce qu’elle avait à m’offrir c’était d’autres piqûres, différentes de l’infiltration, pour calmer les nerfs. Comme elle me recommandait son ostéopathe personnel, j’y suis allée UNE fois. Il a causé des douleurs intenses qui se sont manifestées la nuit d’après et ont duré plusieurs jours, mais rien d’aussi intense que l’ostéopathe de l’année précédente.

        Je dois dire que cette physiatre, je ne lui fais pas confiance. Le système médical étant ce qu’il est au Québec, je ne sais pas si je réussirai à voir un autre physiatre pour avoir une deuxième opinion.

        à la lumière de ces renseignements, avez-vous d’autres idées?

        Merci infiniment,

        Pascale

        ________________________________

        • Deux jours après l’accident, sur la recommandation de mon amie physiothérapeute retraitée, je me suis rendue à l’hôpital pour une radio. Le résultat n’inquiétait pas les médecins que j’ai vus une semaine plus tard, puis deux semaines plus tard. Après ça, j’étais aux mains de mon médecin de famille, auquel je n’avais tout simplement pas accès, car malgré mon insistance, il a refusé de me voir, car son horaire était plein. Le résultat de la radio :
« Il y a une petite avulsion du coin antéro-supérieur vertébral de L4. Il est difficile de dire s’il s’agit d’une vertèbre limbique ou d’une fracture d’un ostéophyte, car je n’arrive pas à voir un contour cortiqué complet. Il n’y a pas de tassement du corps vertébral ou de mal alignement. Arthrose facettaire modérée multiétagée. Préservation de la hauteur des disques. »

          Il eut donc été utile de refaire une radio + scintigraphie deux ou trois semaines après la chute et bien examiner par radios les os du bassin !!!

          Mi-février (six semaines après la chute), étant donné que je n’avais pas accès à mon médecin de famille, encore une fois sur recommandation de la physiothérapeute retraitée, je suis allée dans une clinique sans rendez-vous où j’ai dû insister pour obtenir l’imagerie médicale. Les résultats se sont rendus chez le médecin de la clinique sans rendez-vous et mon médecin de famille. Personne ne m’a contactée, donc je pensais que tout était correct. Désolée, le résultat de l’imagerie médicale est en anglais (je suis à Montréal).
          En titre, c’est marqué :
          Fracture L4 possible. Conclusion : Chronic very mild L4 chip fracture or limbus vertebra, with no acute fracture or other abnormality. Presumed vertebral hemangiomata from T12 to L2. While these are almost certainly benign and stable dating back many years, one could consider comparison with a frontal radiograph to attempt to confirm the identity definitively.

          Traduction approximative :
          Fracture chronique en éclat très légère L4 ou limbus vertèbre (une vertèbre de limbe est un tubercule osseux formé par un traumatisme osseux sur un corps vertébral, présentant une similitude radiographique avec une fracture vertébrale). Pas de fracture aiguë ni autre anomalie.
          Hémangiomes vertébraux présumés de T12 à L2. Bien que celles-ci soient presque certainement bénignes et stables datant de plusieurs années, on pourrait envisager une comparaison avec une radiographie frontale pour tenter de confirmer l’identité définitivement.

          Findings:
vertebral body heights are maintained and there is no acute fracture. The contour irregularity at the anterosuperior corner of L4 remains enchanged since 2013, in keeping with a chronic fracture or an incidental limbus vertebra. There are three vertebral lesions, at T12, L1 and L2, that at L2 occupying most of the vertebral body and measuring approximately 2.4 cm in diameter. All three are slightly heterogeneously T2 hyperintense with varying degrees of T1 hyperintensity, in keeping with benighn hemangiomata, the largest such lesion at L2 being retrospectively visible on prior radiographs. The conus medullaris and cauda equina are unremarkable.
At T12-L1, there is a mild diffuse disc bulge with no appreciable stenosis.
From L1-L2 to L3-L4, there is no significant abnormality.
At L4-L5, there is a minimal diffuse disc bulge, as well as bilateral facet arthrosis and mild thickening of the ligamenta flava but no significan central or foraminal stenosis nor nerve root impingement.
At L5-S1, thre is no significant abnormality.

          Résultats : la hauteur du corps vertébral est maintenue et il n’y a pas de fracture aiguë. L’irrégularité de contour au coin antéro-supérieur de L4 reste inchangée depuis 2013, en lien avec une fracture chronique ou une vertèbre limbique incidente. Il existe trois lésions vertébrales, à T12, L1 et L2, celle à L2 occupant la majeure partie du corps vertébral et mesurant environ 2,4 cm de diamètre. Tous les trois sont hyperintenses T2 légèrement hétérogènes avec des degrés variables d’hyperintensité T1, en accord avec Benighn hemangiomata, la plus grande lésion de ce type à L2 étant rétrospectivement visible sur les radiographies antérieures. Le conus medullaris et la queue de cheval ne sont pas remarquables. À T12-L1, il y a un léger renflement discal diffus sans sténose appréciable. De L1-L2 à L3-L4, il n’y a pas d’anomalie significative. À L4-L5, il y a un renflement discal diffus minimal, ainsi qu’une arthrose bilatérale des facettes et un léger épaississement du ligament flava mais pas de sténose centrale ou foraminale significative ni de conflit de racine nerveuse. À L5-S1, il n’y a pas d’anomalie significative.

          En raison du commentaire : « While these are almost certainly benign and stable dating back many years, one could consider comparison with a frontal radiograph to attempt to confirm the identity definitively. » Mon médecin de famille m’a fait faire une 2e radio frontale cette fois.
          Résultat : Vertebral body alignment is normal and disc spaces are maintained. No fracture, significant degenerative change or paraspinal soft tissue swelling is evident. Impression : No significant pathology revealed.

          L’alignement du corps vertébral est normal et les espaces discaux sont maintenus. Aucune fracture, changement dégénératif significatif ou gonflement des tissus mous paraspinaux n’est évident. Impression : aucune pathologie significative n’a été révélée.

          OK, mais il y a des suspicions de trouble osseux ET surtout : il n’est aucunement fait mention de l’intégrité de votre bassin !!! C’est une négligence que je ne peux pas comprendre (surtout après la description de votre chute, de vos douleurs et de votre sciatalgie).

          En novembre 2019, j’avais obtenu en allant à une autre clinique sans rv une visite chez un orthopédiste associé à une clinique de physiothérapie. Il m’a examinée et m’a recommandé la physio.

          Pour quel diagnostic ? Pas de diagnostic = pas de traitement !!!

          Après l’expérience avec l’ostéopathe, la première chose que j’ai dite au physiothérapeute, c’était que je ne voulais pas être manipulée. Il m’a donné quelques exercices, mais ça n’avait pas amélioré beaucoup mon état.
          J’avais demandé de voir un physiatre. J’étais sur une liste d’attente pendant presque un an pour un diagnostic. La jeune physiatre a demandé une 2e imagerie qui a été faite en février 2020
          IRM COLONNE –COLONNE LOMBAIRE [LOMBO-SACRÉE] (C–) MRI SPINE –LUMBAR SPINE (C–) Renseignements clinique : Lombosciatalgie gauche. Technique : L’examen a été réalisé selon le protocole standard sans contraste.
          Résultats de l’examen : Alignement vertébral, signal de la moelle osseuse, signal des disques, cône médullaire et la queue de cheval sont d’aspect normal. On note accessoirement un hémangiome osseux/bénin intéressant le corps vertébral L2. De L1 à S1, aucune anomalie significative des disques, du canal central/sac thécal, des trous de conjugaison ou des articulations facettaires n’est décelée. Opinion : Pas de protrusion discale, sténose ou autre pathologie significative décelée.

          On peut sans doute éliminer la cause discale. Quoique les imageries ne montrent pas tout et devraient étayer un examen clinique approfondi !!!
          Attention de ne pas négliger ce que dit le protocole : « À L4-L5, il y a un renflement discal diffus minimal ». On ne peut donc pas éliminer une douleur de type disco-duremérienne.
          Rappel du protocole précédent : « De L1-L2 à L3-L4, il n’y a pas d’anomalie significative. À L4-L5, il y a un renflement discal diffus minimal, ainsi qu’une arthrose bilatérale des facettes et un léger épaississement du ligament flava mais pas de sténose centrale ou foraminale significative ni de conflit de racine nerveuse. À L5-S1, il n’y a pas d’anomalie significative. »

          C’est après un examen physique qu’elle a conclu que c’était la sacro-iliaque qui était en cause, bien que j’avais rarement mal à cet endroit-là.

          OK, mais quels tests cliniques ? Attention : la palpation est la pire façon de confirmer une impression diagnostique !!!

          Elle a immédiatement recommandé une infiltration, sans présenter les avantages et les inconvénients.

          Mais pourquoi donc ne pas avoir pratiqué une radio + scintigraphie ????????

          Mais comme j’ai dit, la douleur n’a fait qu’augmenter. La physiatre a dit qu’elle était prête à me revoir dans 3 ou 6 mois, mais ne semblait pas intéressée à poursuivre un diagnostic, me disant que ce qu’elle avait à m’offrir c’était d’autres piqûres, différentes de l’infiltration, pour calmer les nerfs.

          Ce médecin doit beaucoup apprécier les blagues de mauvais goût… Calmer les nerfs avec des infiltrations, cela ne veut rien dire !!!

          Comme elle me recommandait son ostéopathe personnel, j’y suis allée une fois. Il a causé des douleurs intenses qui se sont manifestées la nuit d’après et ont duré plusieurs jours, mais rien d’aussi intense que l’ostéopathe de l’année précédente.

          Grande question : n’est-il pas temps de vous éclairer sur l’ostéopathie, son inventeur, son histoire, sa réalité aujourd’hui et son niveau de preuve (j’en cause en plusieurs endroits dans mon site).

          Je dois dire que cette physiatre, je ne lui fais pas confiance. Le système médical étant ce qu’il est au Québec, je ne sais pas si je réussirai à voir un autre physiatre pour avoir une deuxième opinion.
          À la lumière de ces renseignements, avez-vous d’autres idées ?

          Il FAUT voir un autre médecin et votre médecin généraliste pourrait parfaitement faire l’affaire dans un premier temps.
          Lui synthétiser nos échanges et lui suggérer une étude approfondie du bassin + des SI et, dans la foulée, réaliser une scintigraphie (tout le corps) n’est vraiment pas une démarche exceptionnelle. Votre médecin devrait être capable de faire le point ensuite, et peut-être vous aider.

          En attendant, je vous invite à porter la ceinture Sérola :

          https://www.sisselpro.fr/coussins-de-positionnement/3246-1723-ceinture-serola-sacroiliac.html

          https://www.amazon.fr/CEINTURE-SACROILIAC-Stabilit%C3%A9-bassin-1259-Industrie/dp/B01E4JOCYM/ref=sr_1_3?dchild=1&keywords=Serola&qid=1602771513&sr=8-3

          Objectif : stabiliser les SI et la dernière lombaire. À porter surtout debout et en marchant. Test à faire pendant 3 à 4 semaines. On verra… cela ne peut pas vous empirer et, si cela vous améliore, alors nous tiendrons une très bonne piste.

          Placement : bien respecter la procédure : https://www.youtube.com/watch?v=YIdOLp5ByWU&

          Attention : pour ma part je conseille de la porter à même la peau et de tendre plus les deux élastiques qui viennent de derrière.
          Sensation : soutien intense.
          Objectif : stabiliser les SI et la 5° lombaire.

          Au plaisir

          Yves Seghin

  8. Hauregard dit :

    Bonjour,
    Eric 48 ans de Mons (Belgique),j’ai de naissance une sacralisation de la hanche droite reliant, ma dernière lombaire. Depuis mes 31 ans je souffre de douleurs aux niveaux lombaires avec répercussions aux niveau des omoplates, généralement j’avais des crises en début d’hiver et d’été. À cette époque j’étais pâtissier et ce pour encore 3 ans. Je vous passe mon parcours entre kiné, rhumatologue avec infiltrations sous scanner, osthéo…depuis plus d’un an je me retrouve avec un mal sur tout mon côté gauche, de la plante des pieds à l’épaule, au début même la nuque était très présentes,je suis actuellement un spécialiste en médecine sportive, qui m’a prescrit des séances de renforcement abdominale, séances que je fais à la maison régulièrement, pour l’instant hormis la nuque n’ont rien changé et j’ai l’impression du contraire, surtout concernant un étirement avec un ballon qui opère sur mes trapèzes, concernant les autres séances c’est à dire déjà 15, ça s’est basé sur un travail dit sur les tigers points, hormis de décaper sur le moment et me vider après la séance ne change pas grand, chose. Je ne travaille plus depuis 2 ans, la fatigue est perpétuellement là, je ne récupère pas de mes nuits car je me retrouve à devoir changer de positions, même sous 10mg de décontractant, j’ai l’impression d’être un imbécile devant la spécialiste qui pour elle le sport sera la clé de tout, alors que faire une balade au bois de 45 min tranquillement me casse, que de faire 11 km en vélo pour aller chercher ma fille m’explose les lombaires et m’impose d’aller me coucher en rentrant pour calmer se dos.
    J’en suis au point de me voir comme un déchet, ce sentir inutile est un sentiment qui ne cesse de me tarauder l’esprit. Je dois sortir absolument de cette boucle.
    Quelle direction dois-je suivre?
    Merci d’avance si vous avez l’occasion de me répondre.
    Bien à vous.
    Eric.

    • Bonjour,
      Je me permets (pour les Internautes) de résumer nos échanges par mail.

      Bonjour,
      Je vais essayer de vous donner quelques pistes par écrit, mais nous pourrions consacrer une heure dans mon cabinet pour faire un peu de lumière dans tout ce que vous écrivez (et surtout, tout ce que vous sentez)…
      Je me permets quelques notes dans votre texte.

      Je pense être tout simplement un cas de Nbc avec sciatique du nerf crural, car je actuellement je suis sur pris de la plante du pied gauche, tout cela remontant vers le genou et l’intérieur de la hanche, j’ai une grosse présence aux lombaires tout en étant diminué de la main gauche, des 2 derniers doigts en remontant le bras, passant par l’épaule touchant nuque, omoplates, côtes vertébres, enfin pas mal de truc.

      Vous voulez sans doute dire que vous souffrez de névralgie cervico-brachiale du bras gauche. Si c’est le cas, il faudra en déterminer les causes, essayer de vous améliorer et vous donner des pistes pour ne pas vous empirer (car, bien souvent, les gestes que l’on fait pour se soulager [étirements, etc.] soulagent temporairement, mais empirent la cause profonde [que je dois essayer de trouver].)

      Par ailleurs vous parlez du nerf crural (remarquez que le nerf sciatique et le nerf crural sont deux nerfs différents).
      Il ne s’agit peut-être pas du nerf crural car : le nerf crural (fémoral) innerve la face antérieure de la cuisse, et la face antéro-interne de la jambe, MAIS n’innerve pas le pied. Il faudrait donc que je réfléchisse et que je vous examine bien.

      Depuis 1 an je suivais d’abord kiné posturale, kiné école du dos, renforcement abdominale et travail sur les triggers points. Actuellement c’est pire qu’au début.
      J’ai demandé à mon médecin traitant de me prescrire 2 Emg, qui seront réalisés le 22 et 23 octobre, car je sens que je ne suis pas pris en considération par le docteur, je pense un peu la bousculer lors de ma prochaine visite, mais je suis pas certain que ça débouchera sur quelque chose de positif pour moi.

      Je ne comprends pas pourquoi le médecin vous prescrit autant de traitement alors qu’il me semble que les diagnostics ne sont pas clairement établis.
      De plus (mais il faudrait en parler), votre posture d’aujourd’hui est dépendante des troubles mécaniques qu’il faut identifier et non l’inverse. Autrement dit : votre cerveau se débrouille pour que vous ayez moins mal et votre posture peut être bizarre, mais la modifier risque de vous empirer.
      Par ailleurs, il y a longtemps (depuis les travaux de James Cyriax) que l’on sait que les « triggers points » ne sont que des révélateurs de troubles profonds à chercher et que les détendre ne sert à rien (d’ailleurs, ils reviennent dans l’heure).

      Vous avez raison : il faut vous prendre au sérieux. Reste à savoir si l’EMG s’impose. Pour ma part, je pense qu’il faudrait prendre le temps de vous ÉCOUTER, de vous EXAMINER, de formuler des hypothèses et de vous les EXPLIQUER, et surtout de mettre en évidence ce que vous faites spontanément (ou ce qu’on vous fait) qui vous procure du bien-être, mais qui souvent empire la cause des douleurs.

      J’ai 48 ans, j’ai mes soucis aux niveau des lombaires depuis mes 30 ans, mais j’avais des accalmie et des périodes de crises.

      Tranche âge délicate pour les disques : entre 30 et 55 ans. Ensuite, la pesanteur et le vieillissement font que la matière discale diminue et se dessèche, donc moins de douleurs (pour tout le monde). Je veux dire : moins de douleurs d’origine discale !!!

      Je vous joins quelques photos d’IRM.

      Je serais curieux de voir le protocole : quid L3/L4 et L4/L5 ????

      Cordialement,

      Yves Seghin

  9. karine Desca dit :

    Bonjour. Je suis bloquée sans pouvoir marcher depuis 4 mois. Le mal a commencé par une cruralgie droite féroce. Cela dit je souffre du dos depuis des années .Le radiologue a noté une lombodiscarthrose à un stade évolué + discopathies modérées selon les radio. L’infiltration de cortisone a soulagé la douleur passablement. Mais le mal s’est étendu hanche gauche, côtes omoplates. Avec comme une déchirure musculaire dans la fosse lombaire. Le scanner en faveur d’un cancer secondaire des os pour multiples lésions. A ma connaissance je n’ai pas de cancer primitif. Bizarre. Je suis par ailleurs atteinte du syndrome d’Ehlers Danlos avec intolérance médicamenteuse. Je me soulage avec des bouillottes. Les séances osteo aggravent le mal. Bloquée au lit. Ma vie s’est arrêtée. Que puis je envisager de concret ? Merci de me donner un avis.Karine

    • Madame,
      Il me semblerait opportun de mettre de côté l’arthrose, les discopathies. Par ailleurs, à moins d’un effort très important, les muscles ne sont pas la cause des douleurs. Et enfin, on ne pratique aucun traitement manuel sans diagnostic mécanique clair (encore moins l’ostéopathie qui est le fruit d’une pensée complètement dépassée… j’en parle ailleurs sur mon site). Le syndrome d’Elhlers Danlos doit être négligé, je pense, afin d’obliger les médecins à pousser les examens afin de comprendre la cause de vos douleurs, d’autant que vous parlez « d’un cancer secondaire des os ».
      Vous semblez vouloir vous confronter à la réalité… cherchez un médecin qui, de vos douleurs, « fera son affaire ».
      Et fuyez les diagnostics vagues et les « infiltrations » sans explication.
      Yves

  10. camille dit :

    Bonjour,
    Actuellement en classe de première scientifique et souhaitant par la suite m’orienter vers des études en kinésithérapie, j’ai comme épreuve anticipée du baccalauréat des TPE (travaux personnels encadrés) ou nous devons faire des recherches sur un sujet qui nous tient à cœur. J’ai donc choisis « l’influence du sport sur la croissance ». Je sollicite donc votre aide pour répondre à quelques questions qui m’aideraient énormément.
    •Est ce que le sport pratiqué à grande intensité a un impact sur la solidité des os? •Est ce qu’il y a un impact sur la taille définitive de l’individu ? Quelles maladies en lien avec le sport touchent directement la croissance osseuse? Y a-t-il des effets sur la croissance longitudinale des os et la forme du squelette en général ?
    Merci d’avance.

  11. METZGER dit :

    J’ai des douleurs au dessus des épaules comme si jetais très tendu avec douleurs dans le dos 5 cm environ vers le bas de la nuque et même distance niveau devant iradiant de chaque côté au dessus de la poitrine. Avec des craquements devant et dos. Puis je avoir des conseils ? Merci d’avance

    • Bonjour,
      Je vous propose de lire les posts au sujet de la cervicalgie et de comprendre la notion de douleur projetée. C’est une bonne base pour ne pas faire pire que mieux (vous mêmes ou votre thérapeute). Vous pouvez aussi lire les questions des Internautes et mes tentatives de réponses.
      Cordialement,

      Yves

  12. Romuald Riet dit :

    Bonjour
    Je suis artisan peintre plaquiste,
    Voila 1 an que je vais d ostéopathe, en kiro, chirurgien, radiologue et j en oublie..
    J ai une douleur 24/24 qui part des vertèbres c6c7 qui se diffuse dans la région de l’omoplate puis dans l’épaule et fini sur l’avant bras et augment dès que je tourne la tête vers la droite et l’arrière, malgré la mise en place d’un traitement sous morphine puis injections de cortisone rien n’y fait, auriez vous des conseils à m’apporter,
    Cordialement

  13. penaud Marie jose dit :

    Bonjour, je suis atteinte d’un cyphoscoliose qui n’a été découverte qu’en 1996. J’ai 55 ans, bizarrement jamais personne n’a vu ce dos tordu avec une gibosité a 44%. Bref, c’en est suivit une chute au travail sur le dos de ma hauteur, avec une entorse cervicale, quelques semaines de traitement AINS qui m’ont bousillé l’estomac, port d’un collier cervical puis plus rien dafalgan en cas de crise voila tout. Depuis j’ai des épisodes douloureux plus ou moins intenses, plutôt plus que moins. Depuis quelques mois ma main droite se paralyse , mon épaule est de plus en plus douloureuse. Mon médecin traitant m’a prescris un irm et la le diagnostic tombe, Malformation Arnold Chiari et syringomyélie. J’ai vu un neurologue qui pense qu’opérer aggraverait plus les choses que de les améliorer, mais mon bras lui continue de se paralyser. Une fente médullaire allant de C4 a T8 .J’ai de nombreuses protrusions discales, des difficultés a rester assises, des difficultés a rester de bout. J’essaie de travailler de la main gauche, puisque ma main droite ne répond pas toujours. Je suis sous cortisone depuis 1 mois. Je vois un rhumatologue demain, pour des névralgies d’Arnold…. Sauf que pour beaucoup et malgré les preuves cliniques, mes douleurs sont mentales. Qu’en pensez vous ?

    • Sauf que pour beaucoup et malgré les preuves cliniques, mes douleurs sont mentales. Qu’en pensez vous ?
      C’est intolérable !!!
      J’ai vu un neurologue qui pense qu’opérer aggraverait plus les choses que de les améliorer.
      Ce genre de problème doit être pris en charge par une équipe, qui souvent travaille en collaboration avec des équipes universitaires du monde entier.
      En Belgique nous avons quelques grands neurochirurgiens dont le docteur Raftopoulos

      Par ailleurs, sans vouloir minimiser la prise en charge de vos douleurs liées à votre entorse, je me demande si l’énergie à consacrer ne devrait pas être orientée vers le « meilleur » (au monde) en terme de prise en charge de votre Malformation Arnold Chiari (dont la syringomyélie est une conséquence).

      Cordialement,

      Yves

      • penaud Marie jose dit :

        Merci de m’avoir lu. J’ai constaté qu’être toujours suivie par le meme praticien fait qu’il ne vous écoute plus, il connait tellement bien votre passé médical, qu’il ne prend meme plus la peine de regarder vos radios ou IRM. J’ai enfreint les règles en prenant rendez vous avec un autre rhumatologue, un qui ne me connaissait pas et qui a écouté mes douleurs, et je pense compris que je ne trichais pas que j’étais vraiment dans un état de souffrance inacceptable. Il m’a prescrit un IRM cérébral et des séances de kiné balnéo . Il m’a recommandé de ne surtout pas accepter de seances d’ostéo, trop dangereuses neurologiquement d’après lui et d’arrêter la cortisone, 1 mois consécutif de prise lui parait trop, compte tenu des effets indésirables que cela pourrait provoquer.

  14. bertrand dit :

    je souhaiterais prendre RV pour une cervicalgie qui dure depuis 5 mois .Je suis disponible les lundi et mercredi .
    Bien cordialement
    bertrand
    (nous avons eu un échange tel ce jour )

      • marie-noelle dit :

        cela faisait dix jours que je souffrais des cervicales , omoplates et trapezes j’etais sous cortisone , doliprane et tramadol et malgres cela j’avais mal donc rhumato passé irm et scintigraphie osseuse mais rien de grave donc ya 2 jrs malgres que la rhumatologue m’a dit non j’ai pris rendez vous chez un ostheopahe et heureusement car depuis ce matin la douleur était atroce , insupportable , je pensais que j’allais mourrir tellement j’avais mal , j’ai tenu le coup car j’avais rendez vous a 20h chez l’osthéopathe , en esperant qu’il allait peut pouvoir faire quelque chose
        IL est exactement 22h54 et je vous le dis j’ai trouvé mon sauveur , je revis depuis 2 h , il m’a vraiment soulagé , je le recommande c’est mr AZIZA anthony paris 19ème , il est vraiment tres compétent et doux , il ne m’a fait mal du tout
        Donc des fois il faut suivre son instinct et pas écouter des médecins qui disent qu’il ne faut pas aller voir des osthéopathes , apres c’est sure faut trouver le bon

        • marie-noelle jusseau dit :

          4 jours apres avoir vu l’osthépathe je n’ai plus de douleur atoce meme si le matin surtout c’est un peu encore raide j’attend le resultat de la prise de sang pr voir j’ai des douleurs chronique mais merci a mr Aziza il m’a vraiment soulagé

  15. Lannoy dit :

    BONJOUR

    Pourriez vous me dire s il vous plait , après avoir eu 6 piqûres de cortisone pour lumbago les effets indésirables ?
    Je ne sais pas si c est du a ÇA mais j ai eu une absence en conduisant et j ai eu un accident
    seule sans gravité pour moi juste la voiture.
    CORDIALEMENT

  16. Anne dit :

    Bonjour
    Connaissez vous le Prurit brachioradial ? (Brp en anglais…) Merci

  17. Peeeee dit :

    Merci de bien vouloir éclairer ma lanterne.
    Cela fait deux ans que je souffre de douleurs epaule/cervicale j’étais une grande sportive et j’ai du tout abandonner.. même conduire me fait souffrir et je n’ai que 20ans. La médecine m’a abandonné, sous prétexte que j’étais tendue et que ça allait passer.. J’ai changé de médecin, je vais passer radio et echo de l’épaule dans pas longtemps. J’espère vraiment pouvoir revivre. Mon corps est ma prison.. J’ai vraiment mal vécu tout ça, surtout de ne pas être prise au sérieux en plus. Je me suis auto medicamenté, avec la weed mais au bout d’un moment ça me rend parano.. bref. L’espoir fait vivre.. je suis prête à tout pour retrouver mon énergie.. bien à vous, une voisine de la région

  18. myriam amara dit :

    Bonsoir
    C est myriam apres mon problème d epaule gauche j ai un problème de genou gauche: a 5 reprises mon genou s est bloque surtout qd je le pli, que je monte en voiture ou descends, qd j embraye ou qd jdescends ou monte des escaliers impossible de faire ces mouvements le genou se bloque et grosse douleur mais je peux marcher sans problème…et à chaque crise qui dure à peu pres 2 jours ça se guérit
    spontanément pendant le même temps et rebelote
    J ai vu mon doc qui ma prescrit irm que je passe à la fon du mois il pense à un problème de menisques…
    Qu en pensez vous?
    moi j ai peur que se soit un problème de tendon…(et oui j ai été traumatisée par la rupture de mon sus-epineux!!!)
    Merci
    Myriam

  19. DURR dit :

    Merci pour ce que vous tentez de faire. Car le médical face à ces problèmes en tous genres nous prend parfois pour des « menteurs ». J’ai déjà entendu des « c’est dans la tête » il est vrai que le stress agit sur les problèmes d’hernie, protusion, dos et ne facilite pas la guérison mais il ne fait pas tout à lui seul.

  20. Coustaut julie dit :

    Bonjour,

    Tout d’abord merci d’être volontaire pour aider toutes ces personnes qui comme moi, se sentent seules avec leurs douleurs.
    Voici mon cas : actuellement à Bali pour passer mon divemaster de plongée (niveau de moniteur soit 2 mois de plongées tous les jours) ; j’ai du malheureusement arrêter ma formation après une entorse. Le 12 avril dernier, après une grosse chute je me suis fait une entorse. Mes amis m’ont conseillé du repos et de ne pas aller voir un docteur (1h de route de la ville où je suis) car ils supposaient juste une entorse malgré un pied bien gonflé et très bleu (hématome sous le pied et sur les côtés), malgré la douleur je pouvais marcher. J’ai attendu 10 jours et le 23 avril après avoir trop marcher j’ai supposé qu’il y avait un problème plus grave. Je suis donc allée faire une radio révélant une fracture de Jones. Depuis j’evite de marcher , j’utilise une botte de marché quand je dois me déplacer car je suis seule, et bien obligé d’aller manger matin midi et soir. Mes déplacements se limitent à ça. Le 13 mai je retourne faire une radio qui annonce que l’os n’est pas complétement consolider. Donc je suis toujours dans la même situation. Sauf que l’orthopediste n’a pas regardé mon pied, seulement la radio. Je reste dans mon lit la majorité du temps. Mais dès que je suis assise mon pied regonfle et devient violet bleu. Après 5 semaines cela m inquiète. J’ai décidé d’aller consulter à l’hôpital international qui est à 3h de route mais je dois attendre encore 1 semaine. Que pensez vous de ma situation ? J’ai très envie de reprendre la plongée. Et le 3 juin je dois sortir de Bali pour renouveler mon visa à Singapour donc je vais devoir marcher. Merci de me donner votre avis.
    Cordialement, Julie 33 ans

    • Tout d’abord merci d’être volontaire pour aider toutes ces personnes qui comme moi, se sentent seules avec leurs douleurs.
      Voici mon cas : actuellement à Bali pour passer mon divemaster de plongée (niveau de moniteur soit 2 mois de plongées tous les jours) ; j’ai du malheureusement arrêter ma formation après une entorse. Le 12 avril dernier, après une grosse chute je me suis fait une entorse. Mes amis m’ont conseillé du repos et de ne pas aller voir un docteur (1h de route de la ville où je suis) car ils supposaient juste une entorse malgré un pied bien gonflé et très bleu
      (hématome sous le pied et sur les côtés): hématome sous le pied = fracture
      Malgré la douleur je pouvais marcher. J’ai attendu 10 jours et le 23 avril après avoir trop marcher j’ai supposé qu’il y avait un problème plus grave. Je suis donc allée faire une radio révélant une fracture de Jones.
      Depuis j’évite de marcher , j’utilise une botte de marche quand je dois me déplacer car je suis seule, et bien obligé d’aller manger matin midi et soir.
      Vous ne pouvez pas déposer le pied par terre à cause de la fracture !!!!!!
      Mes déplacements se limitent à ça. Le 13 mai je retourne faire une radio qui annonce que l’os n’est pas complétement consolidé. Donc je suis toujours dans la même situation. Sauf que l’orthopédiste n’a pas regardé mon pied, seulement la radio.
      Pas nécessaire pour la fracture.
      Je reste dans mon lit la majorité du temps. Mais dès que je suis assise mon pied regonfle et devient violet bleu. Après 5 semaines cela m inquiète. J’ai décidé d’aller consulter à l’hôpital international qui est à 3h de route mais je dois attendre encore 1 semaine. Que pensez vous de ma situation ?
      Cela pourrait faire penser à un début de neuro-algo-dystrophie réflexe = lorsque vos jambes sous en l’air il faut bouger (en flexion/extension) votre pied ET consulter n’importe quel médecin pour commencer le traitement médical classique de la neuro-algo-dystrophie réflexe. En attendant votre RV.
      J’ai très envie de reprendre la plongée.
      Je comprends
      Et le 3 juin je dois sortir de Bali pour renouveler mon visa à Singapour donc je vais devoir marcher.
      Vous serez capable de vous déplacer avec des béquilles SANS poser le pied.

      Cordialement

      Yves

  21. severin dit :

    bonjour, d abord je dois vous dire que votre site est tres bien,bravo.

    après une blessure en gym au mois d octobre 2016 et une entorse choppart diagnostique ainsi que le tendon du talon étirer, ma fille de 8 ans a toujours très mal au pied. nous venons de refaire des radios plus échos et la on m annonce une rupture partielle du tendon d achille. on me dit de retourner voir mon généraliste et qu’elle ne doit pas pauser le pied a terre. mon médecin me dit tout le contraire du coup que faut il faire? l orthopédiste est prévu pour juin, en attendant j ai forcer le médecin ( un remplacant) a me prescrire des béquilles car il y a des jours ou ma fille ne peut pas posée le pied sans hurlée de douleur. oui je dit forcer car malgré les résultats des examens celui ci emet des doutes sur la douleur de ma fille qui marche sur la pointe du pied (position qu elle a prise depuis son accident de gym, et meme la kiner n y a rien fait). je ne sais pas quoi faire ,pourriez vous me dire si on peut la soulagée en attendant le rdv de l orthopédiste (le doliprane ne suffit pas toujours) et si oui ou non elle doit marcher. j’éspére avoir étais le plus précisse possible. dans l attente de vous lire. cordialement.

  22. Sakuma dit :

    J’ai découvert votre site par hasard, heureux hasard. Merci . Je suis dans un pays où l’on s’intéresse surtout à l’image qui apparaît sur l’écran . Vous lire m’a aidée .

  23. heavenmemories62100 dit :

    Bonjour on ma diagnostiquer une protrusion c4 c5 et un pincement c5 qui touche la médullaire j’ai essayer tout traitement rien à. Faire je n’en peut plus que puis-je faire et quel conséquence a long terme merci beaucoup sachant que j’ai des difficulté dans les geste quotidien

  24. Mimi dit :

    Bonjour
    Voilà je me suis fait opéré d une rupture de la coiffe des rotateurs y a 7mois et aujourd’hui je n arrive toujours pas à lever le bras au max et j ai l épaule qui monte problème de recentrâge de l épaule moi j ai l impression que c est mécanique mais mon chirurgien dit que non….Quels conseils me donnez vous? Quels exercices ? N existe t il pas un examen qui mette en évidence ce qui causerait le problème de élévation Gleno humerale?
    Merci

  25. BEN dit :

    Bravo à vous Yves, ce site est une mine d’or

    • Monsieur,

      Je vous remercie pour vos encouragements. Chaque info que je diffuse fut le fruit d’un long travail, d’une longue étude pour déjouer le piège des « évidences », des idées faciles et véhiculées depuis tant de temps.
      J’ai créé ce site d’abord pour permettre à mes patients de relire des infos difficiles à intégrer. Puis, étonnamment, la fréquentation de mon site a explosé et j’ai cru que je détenais là un outil pour résister au modèle en place, surtout en francophonie (les Scandinaves ont 50 ans d’avance). Mais rien ne semble pouvoir bouger avant longtemps. Les idées simples sont coriaces et notre métier ne rentre pas dans le système dominant : « idolâtrie de la technique et de l’imagerie ».
      Je continue donc, par conscience. Mais je n’ai plus d’illusions.
      De plus, je suis étonné que tant de gens de tous pays me posent des questions sans manifestement avoir lu les infos (sur mes posts) qui concernent leur pathologie. Ils souffrent, j’en conviens… Mais quand renonceront-ils aux questions bateaux qui demanderaient des réponses simples ?
      J’écris souvent que Mencken disait il y a plus de 50 ans : « A tout problème complexe il existe une solution simple, rapide… et fausse ».

      Merci encore pour vos encouragements.
      Cordialement

      Yves

  26. camille dit :

    Bonjour, j’ai 14ans
    Il y a plus de 2 ans j’ai eu une fracture de la malléole qui n’a pas été plâtré et depuis j’ai toujours mal (douleurs quotidiennes) j’ai passé énormément d’examens montrant un petit acroc au niveau du cartilage. Je suis allée voir un nouveau medecin qui n’a pas lu mon dossier en entier. Il me propose une infiltration pour sois disant réduire l’inflammation alors que j’ai passé une échographie de la cheville ne révélant rien d’anormal au niveau ligamentaire et inflammatoire.
    Qu est-ce que vous en pensez? Merci de me répondre rapidement

    • bianca60 dit :

      Bonjour, je suis en arrêt pour problèmes d’épaules la droite conflit sous acromial degeneratif et une legere bursopathie. La gauche syndrome de la voute sous acromiale en relation avec un bec acromial inférieur et une arthropathie hypertrophique acromio-claviculaire l’aspect est responsable d’une inflammation chronique du tendon supra épineux et d’une juriste sous acromiodeltoidienne pensez vous que ce soit du a mon travail je suis ash en milieu hospitalier et que sa peut être reconnue maladie professionnel, je doit me faire operer fin janvier je vous remercie d’avance pour votre reponse

  27. BERTOCCI dit :

    Bonjour monsieur ,
    tout d’abord merci pour l’intérêt que vous portez aux souffrants et bravo à vous !

    J’ai 61 ans et suis fibromyalgique depuis 30 ans > d’où tendinopathies à répétition (opérée d’épitrochléite, coude gauche , puis d’épicondylite coude droit , puis tendinite calcifiante épaule droite , bursite cheville gauche (toutes ces opérations m’ont soulagée et je peux me resservir de ces membres!!…alors que pendant 2 ans je ne pouvais presque plus me coiffer ou porter une assiette)

    L’an dernier opération du canal lombaire étroit ,+ hernie et enlevé deux larges morceaux d ‘ostéophytes + arthrodèse(greffe osseuse (sans cage…. )Mais je ne tiens plus debout sans ceinture lombaire et fatigue très vite même le temps d’une douche))

    Depuis + de 5 ans on m’a diagnostiqué(,cliniquement par un chirurgien,+ rhumatologue,+ radios ) des tendinites des moyens fessiers , qui m’empêchent de rester en position debout ou de marcher plus de 100m sans douleur (fesses …et hanches surtout)….Même la nuit , au repos les douleurs sont « brûlantes »!!!
    Je ne vous parle pas de toute la panoplie d’anti douleurs que j’ai pris au cours de ces 30 ans !!!

    Pour les moyens fessiers : ultrasons pendant des mois , massages profonds , ondes de choc ,30 séances de laser et même essayé biokinergie ,( proposé infiltration qui n’ont jamais eu d’effet sur mes autres tendinites !!!!)
    Mes trochanters sont calcifiés …

    Mon médecin me dit qu’on ne peux rien faire … malgré une souffrance continue et les calmants

    J’ai vu que cela s’opérait à Lyon et à Paris
    Mais cela me fait un peu peur ??…
    Je ne connais pas trop les suites de ces opérations(à part 6 semaines sans poser le pied et rééducation) et j’ai surtout peur de garder des séquelles à la marche ensuite ….

    Qu’en pensez-vous ?
    Pourriez-vous me donner votre avis ?
    Connaissez -vous des cas qui ont été guéris par ce genre d’opération ?
    Avec tous mes remerciements
    Bien cordialement
    Pascale

  28. Bonjour,

    Accident de voiture en 2001 et 2013.
    Radio: Entorse cervicale posterieure. Colonne droite mais légèrement déviée à gauche.

    Depuis 14 ans des douleurs cervicales…on s’habitue…ou pas.

    Mais depuis 2 mois, douleurs diffuses dans le corps. Picotement, fourmis, engourdissement du pied droit. Ca remonte au mollet. Au repos nickel. Debout et en changeant de position c’est comme si les muscles se cridpaient, comme si j’avais des courbatures. Je peux marcher, je peux bouger mon pied mais ces sensations d’alourdissement me rendent folle.
    Ca vient jusqu’au genou en partant de la cheville.

    Fait 5 séances de kiné, elle m’a fait crquer 3 vertèbres… je regrette, j’ai l’impression que c’est depuis que mon pied disjoncte.

    rhumato me diagnostique fibromyalgique. La neuro trouve le bilan normal et penche pour une dépression.

    En attendant je suis sous redomex et beafact.
    Mais ca ne va pas mieux.

    Je vois demain un podologue. Un ostéopathe pourrait m’aider????? Un chiro????

    Dois je demanderair des irm et scan?

    Merci d’avance pour votre réponse… je suis perdue….

  29. LARAICHE dit :

    bjr, opérée d’une PTH Gauche en 2005 aucun problème, opérée de la PTH droite en Septembre 2016, plus de douleur, mais à la marche, j’ai utilisé la béquille gauche, et c’est celle là qui me fait mal, de plus, j’ai arrêté la rééducation, car après un vélo de 10 mn, force 7 j’ai mis une semaine à me rétablir des douleurs, puis le tapis de marche 5 à 10 minutes, et au moment ou le chariot est en pente ascendante, j’ai très mal subitement aux lombaires, idem pour les tapis de marche des supermarchés, la douleur lombaire revient, est-ce un basculement des L4 L5 et que faire concrètement, le CORTANCYL 20 mg sur 8 jours peut il calmer ou une infiltration ??

    Merci pour la réponse. Cordialement.

  30. Fernandes dit :

    Bonjour ,
    Tout à commence en 2014 suite à une IVG qui s est très mal passée , j ai commencé à avoir des douleurs insupportables sur tout le corps , ainsi que des crises de vertiges insupportables ‘ nausees et troubles visuels , on a commencé à me dire que c était de la spasmophilie pour ensuite m annoncer que j avais une fibromyalgie . J ai tenu ainsi une année avec 12 médicaments à prendre tels que atarax laroxyl anti douleur primperan etc etc , je ne peuvais plus rien faire ni marcher c était mon mari qui M emmenait aux WC m habillais et me nourrissait , jusqu au jour j ai un peu gueuler sur les médecins et j ai été voir un orl qui M as mis sous betaserc et tanganil sans trop me dire ce que j avais encore six mois de calvaire , j ai pris l initiative d aller voir un rhumatologue puisque mon médecin traitant m à annonce ne plus rien pouvoir faire pour moi , après un irm des sacro iliaques on m à annonce que j avais une spondylarthrite ankylosante encore une fois on m à mis sous traitement mais rien y fait les vertiges étaient de plus en plus insupportables ainsi que les douleurs , on m à diagnostiqué une nevralgie d arnold, infiltrations et tout le blabla mais pas d amélioration il y a 4 mois j ai été voir un nouveau orl qui M à diagnostiqué la maladie de meniere je suis sous betaserc et tanganil mais pas d amélioration je voit aussi un kine et un ostéopathe pour de la réduction vestibulaire et pour la nevralgie d arnold . Rien y fait je vit un calvaire je ne sait plus quoi faire

  31. Jonathan dit :

    Bonjour
    Je souffre de contracture entre omoplate et colonne vertébrale jai des contracture dans tous dos emg montre que j’ai une atteinte c5 c6 c7 sur les irm radio on voir rien toujours aussi douleur et peut pas bouge bras et les ostéopathie me dise il y a les vertébrale du cou bloqué mais les examins montre rien chez plus quou faire

    • Bonjour,
      Des problèmes semblables au vôtre ont souvent été abordés sur mon site. Je vous engage donc à lire attentivement ce qui concerne les cervicalgies et les questions/réponses dans les rubriques « commentaires ».
      Cordialement

      Yves

    • Vous dites que les examens ne montrent rien alors que vous écrivez : « j’ai une atteinte c5 c6 c7 sur les IRM ». C’est donc de cette pathologie qu’il faut s’occuper. Je ne peux détailler ici toutes les stratégies qui pourraient vous aider, mais il faut partir de cette atteinte C5 C6 C7 et ne pas s’occuper de vos raideurs et contractures.
      cordialement

      Yves

  32. Françoise LOOTENS dit :

    Bonjour,

    Depuis près d’un an je souffre de l’épaule droite une tendinite, j’ai fait 30 séances de kiné qui n’ont donné aucun résultat, sauf si je suis au repos (mais vraiment sans rien faire) je souffre moins. J’ai donc passé une IRM et en fait il s’agit :

    d’une tendinose du tenson supra épineux associé à une rupture transifixiante focale de la partie antérieure et distale du tendon s’étendant sur 4 mm de largeur de le longueur.
    Trophicité normale des muscles de la coiffe des rotateur.
    Minime arthrose
    Lame d’épanchement liquidien au sein de la bourse sous acromio deltoîdienne qui mesure 3,8 mm d’épais. maximale.
    Epanchement liquidien modéré au sein de la gouttière bicipitale.

    Que me conseillez vous de faire ? d’après le radiologue dû à l’usure j’ai 63 ans et me demande de voir une chirurgien pour avoir son avis.
    Qu’en pensez vous ? Je pensais voir un ostéopathe. Je suis contre les infiltrations.

    Merci

    • Madame,

      Il y aurait beaucoup de choses à dire sur votre problème, mais j’en ai déjà beaucoup parlé dans d’autres réponses que vous trouverez si vous prenez le temps de lire.
      Vous dites que vous allez rencontrer un ostéopathe… (???) j’ai souvent aussi abordé ce sujet qu’on peut résumer en deux mots : l’ostéopathie fait partie de l’histoire de la médecine, mais-aujourd’hui– elle a surtout sa place au musée.
      Quant à votre point de vue sur les infiltrations, que voulez-vous que l’on vous dise ? Personne, pas même les « professionnels » ne sont « pour » les infiltrations. Cependant les infiltrations font partie de la boîte à outils des soignants de l’appareil locomoteur au même titre que les anti-inflammatoires ou les injections d’anesthésiques. Être opposé radicalement aux infiltrations n’augure rien de bon pour un dialogue fructueux avec le corps médical. En effet, si vous n’avez pas d’anomalie anatomique de l’acromion, il y a beaucoup de chance que des infiltrations bien menées soient la seule solution et pourraient empêcher une opération dans quelque temps. Votre problème est très fréquent et vous aurez beaucoup de bénéfice en prenant le temps de lire certains posts sur mon site et beaucoup de questions/réponses qui m’ont pris beaucoup de temps.

      Cordialement (et comme toujours gracieusement).

      Yves

    • LARAICH dit :

      BONJOUR, DOMMAGE CAR AVEC UNE TENDINITE DE L’EPAULE GAUCHE EN 1994,, UNE INFILTRATION D’ALTIM DEPUIS ET A CE JOUR PLUS RIEN;

  33. J. MARTIN dit :

    Bonjour monsieur,

    Tout d’abord je tenais à vous remercier pour vos recherches continuelles ainsi que pour l’ensemble des informations et recommandations que vous partagez avec nous les internautes à travers votre blog que d’ailleurs j’ai parcouru avec attention.

    Je ne sais pas par ou commencer. J’ai expliqué tellement de fois le problème que rencontre mon épouse, que nous avons en avons perdu l’espoir de trouver la voie de la guérison.

    Ma femme souffre de douleurs insupportable au niveau de la nuque et des trapèzes provoquant comme des contractures musculaires ces douleurs qui irradient à la fois son crane occasionnant comme une grande pression mais aussi descend tout le long de ses bras jusque dans les doigts.

    Cette douleur peut tout aussi bien apparaitre sur le coté gauche ou coté droit du corps.

    Nous avons effectué une batterie d’examen (radio irm échographie) vu des spécialistes en France ( neurologues orthopédiste rhumatologue ostéopathe chiropracteur ) ils ne décèlent rien d’anormale ou les manipulations la soulagent que très brièvement moins de 24H.

    Pour eux ils s’agit d’anxiété et de stress nervosité uniquement qui provoquent ses tensions musculaires. Nous avons donc essayé l’acuponcture et la mésothérapie qui de même que les manipulations ne la soulage que très peu.

    Elle a été mise sous loraxyl pendant 6 mois. cela n’a absolument rien changé concernant les douleurs, on lui prescrit des antalgiques puissant qui la font dormir mais ne soulagent pas ses douleurs les massages ne marchent pas ou presque.

    Notre vie est vraiment devenue difficile, sa vie personnelle et professionnelle est vraiment affectée elle a arrêté son emploi de bureau car la position immobile toute la journée était une torture pour elle.

    Nous sommes arrivé à un point ou nous avons même essayé d’aller voir des guérisseurs soit disant très « réputés » et comptons aller voir un magnétiseur et un hypnotiseur à notre retour si aucune autre solution s’offre à nous (nous sommes prêt à tout essayer et je ne veux pas perdre espoir et confiance devant elle).

    Dernièrement Je l’ai inscrite au sport et à la piscine qui la soulage un certain temps, mais dès qu’elle s’arrête et se pose un peu le soir ou la nuit la douleur revient pour ne plus la quitter.

    Actuellement elle devient dépressive elle à envie de reprendre le cours de sa vie normal mais dans ces conditions c’est plus qu’improbable que cela fonctionne.

    Nous ne savons plus quoi faire de plus nous sommes expatriés au Gabon donc pas régulièrement en france.

    Auriez vous des pistes à nous soumettre des médecins à nous orienter ? nous serons de retour en France au mois d’aout et totalement mobile.

    Merci de bien vouloir nous aider je compte vraiment sur vous ainsi que les internautes pour nous aider et nous éclairer.

    • Ma femme souffre de douleurs insupportable au niveau de la nuque et des trapèzes provoquant comme des contractures musculaires ces douleurs qui irradient à la fois son crane occasionnant comme une grande pression mais aussi descend tout le long de ses bras jusque dans les doigts.
      Cela oriente bien évidemment vers la colonne cervicale.
      Cette douleur peut tout aussi bien apparaitre sur le coté gauche ou coté droit du corps.
      Nous avons effectué une batterie d’examen (radio irm échographie)
      Il serait intéressant d’obtenir le protocole de l’IRM
      vu des spécialistes en France ( neurologues orthopédiste rhumatologue ostéopathe chiropracteur ) ils ne décèlent rien d’anormale ou les manipulations la soulagent que très brièvement moins de 24H.
      Cela me semble peu probable, mais souvent l’examen clinique (les tests réalisés au cabinet) sont peu ou mal réalisés. De plus, on ne « manipule » pas sans avoir un objectif, donc une piste diagnostique.
      Pour eux ils s’agit d’anxiété et de stress nervosité uniquement qui provoquent ses tensions
      L’anxiété est un facteur inévitable quand on souffre, surtout depuis longtemps sans explication consistante. Cependant, l’anxiété ne peut pas provoquer le tableau que vous décrivez.
      alors nous avons essayé l’acuponcture
      Peu de chance d’efficacité
      et la mésothérapie
      Idem
      de même que les manipulations
      Pas de manipulations sans hypothèse diagnostique.
      Elle a été mise sous loraxyl pendant 6 mois. cela n’a absolument rien changé, on lui prescrit des antalgiques puissant qui la font dormir mais ne soulagent pas ses douleurs
      Il faut en tout cas, au moins, continuer à tenter de diminuer les douleurs.
      les massages ne marchent pas ou presque.
      Si vous relisez nombre de mes articles, vous comprendrez pourquoi. Ce fut d’ailleurs un des motif fondamental qui me fit commencer à construire progressivement ce site. En effet, cela fait 60 ans déjà qu’il est prouvé que les massages n’ont pas de fonction thérapeutique.
      Notre vie est vraiment devenue difficile, sa vie personnelle et professionnelle est vraiment affectée elle a arrêté son emploi de bureau car la position immobile toute la journée était une torture pour elle.
      Je comprends bien. D’autant qu’on prétend la soigner pour une pathologie qu’on ne nomme pas. Pas de traitement sans hypothèse diagnostique.
      Nous sommes arrivé à un point ou nous avons même essayé d’aller voir des guérisseurs soit disant très « réputés » et comptons aller voir un magnétiseur et un hypnotiseur à notre retour si aucune solution s’offre à nous.
      Dernièrement Je l’ai inscrite au sport et à la piscine qui la soulage un certain temps, mais dès qu’elle s’arrête et se pose un peu le soir ou la nuit la douleur revient pour ne plus la quitter.
      Effectivement, le repos n’est pas une bonne idée.
      Actuellement elle devient dépressive elle à envie de reprendre le cour de sa vie normal mais dans ces conditions c’est plus qu’improbable que ça fonctionne.
      Nous ne savons plus quoi faire de plus nous sommes expatriés au Gabon.
      Auriez vous des pistes à me soumettre des médecins à nous orienter ? nous serons de retour en France au mois d’aout et totalement mobile.
      Non. Et malheureusement l’approche pragmatique de ces problématiques tend à disparaître en France et, progressivement, en Belgique aussi contrairement aux pays scandinaves.
      Cordialement
      Yves

      • Jeremy MARTIN dit :

        Merci de votre réactivité et de vos réponses bien qu’ elles ne m’apportent aucun début de solution. J’entends bien et j’ai bien compris que le repos et les massages ne sont pas de bonnes idées… mais alors que faut il faire ? Quelles sont les bonnes idées à mettre en place ? C’est la question centrale car jusqu’à aujourd’hui aucune réponse utile ne nous à été apportée. Devons nous nous attendre à ce qu’elle vive dans cette état tout au long sa vie ?? A à peine 25 ans c’est un avenir bien sombre qui l’attend si aucune autre alternative ne s’offre à elle. Personne jusqu’à aujourd’hui n’a était capable de découvrir la provenance profonde de cette douleur… (Je vous transmets par mail les analyses et irm effectuées). Lorsqu’elle vous explique la sensation qu’elle ressent a l’intérieur de son corp elle a le sentiment d’avoir un nerf coincé quelque part source de se déséquilibre physique. êtes vous disponible mi août est il possible de prendre rendez-vous avec vous ? Vous parlez des pays scandinaves avez vous des adresses à nous recommander ? Mon unique priorité est la santé de mon épouse nous irons ou il.sera nécessaire d’aller pour son bien être. Nous sommes prêt à tout entreprendre nous avons simplement besoin d’une personne qui nous guide. Merci à vous.

        • Véronique dit :

          Bonjour Mr. Seghin,

          Je suis arrivée par hasard sur votre site, j’ai parcouru les articles concernant les cervicalgies et je suis restée… sans voix. Quel soulagement après avoir parcouru quelques commentaires de ne plus me sentir seule face à mes douleurs!

          Je me retrouve tout particulièrement dans le commentaire laissé plus haut de Mr. Jérémy Martin au sujet de sa femme.

          • août 2013 : traumatisme cervical

          • depuis 2014 : cervicalgies, tension au niveau du crâne et des yeux en cas de crise plus forte
          (Radios, IRM –> tout était normal)
          J’ai vu des neurologues, kiné, ostéopathe (plusieurs) –> aucune amélioration

          J’ai suivi un traitement chiropratique pendant 1 an (manipulations puis tractions). A raison d’une séance de tractions par semaine pendant 2 mois puis une toutes les 2 semaines j’étais soulagée entre les séances.

          Mais ce répit est à présent révolu…

          • depuis mai 2016 :
          -douleur permanente au milieu de la nuque du côté droit, irradiant dans l’épaule, parfois ressentie dans le petit doigt
          -sensation de trouble circulatoire dans le bras droit, la main droite devient froide
          -paresthésie, plus prononcée du côté droit (main et pied) mais quelques fois ressentie à gauche également
          -tension au niveau du crâne et des yeux très forte
          -fatigue très prononcée
          –> Diagnostic de mon médecin généraliste: surmenage, somatisation,…

          Je suis à présent en arrêt de travail depuis 4 semaines, sans ressentir la moindre amélioration.
          J’ai arrêté le traitement chiropratique, il n’y a eu aucune amélioration lors des dernières séances de tractions, le contraire s’est même produit: aggravation des douleurs…
          La radio des cervicales n’a rien montré, résultat de l’IRM lundi prochain.

          Petite précision: je n’ai pris depuis le début de ces problèmes aucuns médicaments. N’ayant aucun diagnostic avancé je me refuse à surcharger mon foie par la même occasion.

          J’ai 38 ans et je souhaite vivement trouver des pistes en voie d’une amélioration de mon état. J’habite en France mais j’irais où bon il sera nécessaire d’aller.

          Un grand bravo pour votre site et le temps que vous y consacrez.
          Bien cordialement,
          Véronique

          • Donc vous avez 38 ans et cela élimine certaines pathologies (notamment des trous de conjugaison)

            Août 2013 : traumatisme cervical
            – élément très important = suspicion de whiplash et d’entorseS cervicaleS.

            •depuis 2014 : cervicalgies, tension au niveau du crâne et des yeux en cas de crise plus forte
            (Radios, IRM –> tout était normal)
            – Attention à ces conclusions. Il faudrait voir les images et lire les protocoles. Par exemple : une rectitude cervicale est probable (à cause du traumatisme) et peut aider à poser le bon diagnostic. Par exemple : de petits bombements discaux sont probables et tout aussi utiles à connaître. À voir donc.

            •depuis mai 2016 :
            –douleur permanente au milieu de la nuque du côté droit, irradiant dans l’épaule, parfois ressentie dans le petit doigt
            — sensation de trouble circulatoire dans le bras droit, la main droite devient froide
            — paresthésie, plus prononcée du côté droit (main et pied), mais quelques fois ressentie à gauche également
            — tension au niveau du crâne et des yeux très forte
            — fatigue très prononcée
            –> Diagnostic de mon médecin généraliste : surmenage, somatisation…

            – Après un traumatisme et avec ce que vous racontez, on doit penser d’abord à un trouble mécanique qu’il faut cerner, puis traiter. Il y a, de toute façon, des éléments de névralgie cervico-brachiale (que vous ne pouvez pas « inventer »).

            Je suis à présent en arrêt de travail depuis 4 semaines, sans ressentir la moindre amélioration.
            J’ai arrêté le traitement chiropratique, il n’y a eu aucune amélioration lors des dernières séances de tractions, le contraire s’est même produit : aggravation des douleurs…
            – Les tractions n’aident qu’en cas de protrusion molle, mais vous devriez être plus jeune. De plus, on ne pratique aucune technique si on ne pose pas d’abord une hypothèse diagnostique.

            La radio des cervicales n’a rien montré, résultat de l’IRM lundi prochain.
            –Même remarque que plus haut !!!

            Petite précision : je n’ai pris depuis le début de ces problèmes aucun médicament. N’ayant aucun diagnostic avancé je me refuse à surcharger mon foie par la même occasion.

            Essayez quand même des anti-inflammatoires (car il y a toujours une composante inflammatoire dans ce genre de problème) + des antidouleurs (Dafalgan) non seulement pour diminuer la douleur, mais aussi parce qu’en obtenant plus de confort vous bougerez plus naturellement, ce qui est bénéfique pour l’autotraitement.

            cordialement

            Yves

            • Véronique dit :

              Merci beaucoup pour votre réponse ainsi que pour votre rapidité!

              Vous dites: « on doit penser d’abord à un trouble mécanique qu’il faut cerner, puis traiter. »
              Je suis tout à fait d’accord avec vous.

              J’ai vu en 2013-2014 bon nombre de spécialistes… Au bout d’une année -d’errance devrais-je rajouter- le seul traitement qui me soulagea enfin fût le traitement chiropratique (le chiropracteur avait en 2014 émis l’hypothèse d’un pincement C1-C2 –> il procéda à des manipulations cervicales hautes, puis comme le trouble au niveau des yeux ne s’améliorait pas il évoqua un tassement C0-C1 –> tractions).
              Malheureusement depuis mai 2016 les autres symptômes sont apparus et ce traitement ne fonctionne plus.

              J’ai dû laisser les radios avec mon dossier au cabinet d’imagerie, je les récupère mercredi prochain avec le résultat de l’IRM. Si vous n’y voyez pas d’inconvénient, je souhaiterais vous recontacter à ce moment-là afin d’avoir votre avis par rapport aux radios.

              En attendant je vais prendre comme vous le conseillez des anti-inflammatoires et du Dafalgan.

              Et m’empresser d’écouter « Sur les épaules de Darwin, sur les épaules des géants »

              Merci pour votre temps,

              cordialement,
              Véronique

  34. Denyse DEBAIZE dit :

    Je dois avoir une infiltration pour un syndrome de Maigne ; Est-ce que je dois respecter une période de repos après cette infiltration ? Si oui, de quelle durée ? Merci.

  35. Patrick dit :

    Bonjour,

    J’ai 51 ans, pratiquant la course à pied depuis 25 ans. Je souffre de sciatalgie côté droit depuis septembre 2015, les douleurs se font sentir principalement dans la fesse et dans le mollet côté extérieur. Pas de problèmes durant le sommeil, par contre, le plus dur se situe au lever et en début de matinée, et aussi le fait de rentrer dans la voiture. Sinon, cela ne m’empêche pas de courir et la douleur s’atténue en course (mais j’y vais prudemment…), et en mouvement d’une manière générale. J’ai eu des épisodes de picotements jusque dans le pied, mais beaucoup moins fréquents ces dernières semaines. La douleur a été variable d’un jour à l’autre, raison pour laquelle j’ai tardé à consulter : j’ai fait mes 9 séances de kiné + ostéo en décembre, il y a eu un mieux en janvier et puis une forte douleur est survenue dans le bas du dos en effectuant un « faux-mouvement » fin janvier…J’ai alors fait un scanner et une radio de la colonne lombaire et du bassin dont voici les conclusions : scanner « discopathie et arthrose interapophysaire postérieure pluri-étagée. En L4-L5, sténose canalaire significative et protrusion postéro-latérale droite entrant en contact avec la racine L5 droite intracanalaire. En L5-S1, débord disco-ostéophytique postero-latéral droit, entrant en contact avec S1 droite intracanalaire. radio : Discret pincement L5-S1 et dégénérescence discarthrosique avec ostéophytose au niveau L2-L3. Bascule de 20mm du bassin au dépens du côté droit : à bilanter…Je précise qu’au moment de la radio, j’avais assez mal et me suis sans doute mis dans une posture « antalgique », qui a du fausser la mesure de la bascule…20mm de différence entre les 2 jambes me semblent énorme, d’autant plus que j’avais fait une radio il y a 15 ans où l’on m’avait détecté une différence « légère » ( je n’ai malheureusement plus ce protocole ). Toujours est-il que j’ai recommencé sur base de ces résultats la kiné, mon kiné ne voulait pas croire à l’erreur de mesure, et m’a conseillé de porter une semelle; il m’a aussi obtenu un RVs rapide chez un orthopédiste spécialisé dans le dos, qui non-plus ne m’a pas entendu quant à l’erreur de mesure, il m’a prescrit une semelle d’1cm et des infiltrations… j’ai mis ces prescriptions au placard pour le moment et je suis retourné voir l’ostéopathe qui a pris une mesure de ma bascule de bassin à l’aide d’un appareil laser : résultat : 10 mm de différence au lieu de 20 !!!! , et l’axe de ma colonne était bien vertical. Il a refait une mesure avec une talonnette de 6 mm que j’avais testé sur quelques jours, montrant qu’une déviation se mettait en place au niveau cervical, ce qui à terme aurait fait plus de dégâts que de bénéfice si j’avais porté une semelle d’1 cm…Donc, exit la semelle ! En terme d’injection, j’ai débuté une série d’injections en sous-cutanée au niveau lombaire de produits homéopathiques biorégulateurs ( ce sont des produits composites, qui ont et qui font encore l’objet d’études ), pas encore assez connus par la médecine classique, mais déjà régulièrement utilisés en médecine sportive, sans effets toxiques pour l’organisme. Ces produits visent à réduire la douleur arthrosique pour l’un, et à soutenir la guérison discale pour l’autre. Les 2 premières injections m’ont apporté un bénéfice en terme de douleur, mais elles sont à répéter ( série de 10 ) pour un effet durable, et à répéter par une nouvelle série après quelques mois…Mais au moins, on évite les effets secondaires. Le tout est accompagné d’exercices ( gainages, etc.. ). Voilà, j’espère que mon expérience peut en aider quelques-uns. Je suis moi-même preneur de conseils et d’avis de professionnels de la santé….

    • Patrick dit :

      Oups ! J’ai oublié de préciser que je ne prends des médicaments chimiques qu’occasionnellement, histoire de ne pas m’intoxiquer : par exemple un paracetamol ou un diclofenac retard ( AINS ) – j’en ai pris 3 sur un mois de temps, en prévision d’une journée qui me demandait de rester debout et immobile pendant un certain nombre d’heures – ce que mon dos n’aime pas !

    • Caron jean claude dit :

      Merci et bravo pour votre altruisme.
      Je souffre d’une sciatique . J’ai vu mon médecin un kinésithérapeute un acupuncteur un Etiopathe un orthopédiste et j’ai une douleur (assis) à l’ischion une faiblesse musculaire jambe droite. D’après le neurologue j’ai des racines nerveuses abîmées je voudrais savoir si je peux prendre des médicaments pour me soulager j’ai quatre Stents qui ont été posées en 2010 trois et un en 2014 puis je prendre des inflammatoires ou du Doliprane ?

      • Monsieur,
        Je vous remercie pour vos encouragements.
        Vous dites : « j’ai une douleur (assis) à l’ischion une faiblesse musculaire jambe droite. D’après le neurologue j’ai des racines nerveuses abîmées »
        Une douleur assis à l’ischion peut faire penser à beaucoup de choses en dehors des racines nerveuses :
        -Bourse ischiatique, tendinite ou déchirure des ischio-jambiers. La douleur de la bursite peut se provoquer à la palpation et se confirmer par échographie.
        -L’atteinte des muscles ischio-jambiers peut se manifester par une douleur lorsqu’on vous demande de plier la jambe et qu’on vous en empêche [= test résisté], si soupçon : échographie peut confirmer.

        des racines nerveuses abîmées

        = diagnostic trop vague. Il faut au moins que le test de Lasègue soit positif (dans le bas de ce post : https://orthopedie-pour-tous-vos-douleurs.com/lombalgies-sciatique/

        Pour le reste : sans diagnostic, pas de traitement.
        Cordialement
        Yves

      • LARAICH dit :

        BONJOUR, POUR UNE SCIATIQUE QUI A DUREPLUS DE 4 MOIS, APRES UNE IMMOBILISATION TOTALE LES PREMIERS JOURS IL N’Y A QUE CORTANCYL 20 mg QUI DES LE DEBUT M’A PERMIS DE ME REDRESSER, J’EN AI PRIS PENDANT 2 MOIS, PLUS AUCUNE DOULEUR, J’AI MEME PU MARCHER AVEC UNE BEQUILLE ALLER AUX TOILETTES? ELIMINE LES COUCHES LA NUIT, J’AI 70 ANS, L’EFFET DU VISAGE BOUFFI LA PRISE DE POIDS ET TOUTES LES BOSSES DU BISON ET AUTRES GROSSEURS ONT DISPARU EN UN MOIS. BON COURAGE, YA QUE CORTANCYL D’EFFICACE ET DE RAPIDE PAR CONTRE PERTE DE SOMMEIL PRENDRE DES COMPRIMES PHYTO POUR DORMIR.

  36. samantha dit :

    Bonjour Monsieur Seghin si vous pouviez m’aider un peu svp, voilà j’ai ma fille de 8 ans qui a mal au jambe depuis 2 mois et demi sa a commencé par une douleur a l arriere du genoux gauche et une douleur a l’aine droite a force de marcher quelque pas elle est arriver a ne plus poser son pied gauche tellement elle avait mal au talon radio et echo n’ont rien révélées ainsi que la vitesse de sedimentation
    , seul le repos de quelques jours a fait passé la crise meme si elle ressentait de minime
    douleur elle pouvait tout de même vaquer a
    ses activer ainsi que le sport 2 h de judo et 2h
    de sport a l’ecole, ensuite une autre crise et
    arriver 1mois et demi apres la premiere nous
    avons vu cette fois un pediatre au lieu de mon
    generaliste qui pense a sever puisque lorsque
    il touche au niveau du talon cheville grosse
    douleur, il nexclue pas aussi l arthrite juvenil
    même si pied froid sans gonflement, il nous a
    fait passet une irm des talon le droit qui lui fait
    peu mal rien a signalé et sur le gauche tres discrète cellulite inflammatoire sous cutanée
    plantaire postérieure et petite reaction
    hydarthrosique de la tibio-astragalienne.
    Examen normal par ailleur, une prise de sang
    a nouveaux revele une vs a 14 et 33 la 2ieme
    heure donc un peu élevés et un taux d
    anticorp anti nucléaire a 80 pile au seuil de
    positivité le pediatre lui en prescrit une autre
    pr vérifier si pas d augmentation parcequ elle
    a un vitiligo sur une partie du corp depuis 4 ans dou peut etre ce petit taux d anticorp, j’aimerai votre avis svp Mr Seghin en attendant les nvx resultat sanguin et le rdv du rhumatologue

    • Bonjour,

      Ce serait ma fille, je persévérerais en suivant la piste rhumatologique avant tout.
      Cordialement

      Yves

      • samantha dit :

        Bonjour merci pour votre réponse, je viens de voir que je ne suis pas sur la bonne page sur la maladie de sever, donc oui nous attendons le rdv avec un pediatre rhumatologue a Neker, mais j’aurai voulu savoir si la maladie de sever pouvait donner des douleurs jusqu’à l’aine? On voit bien que tout vient du talon vendredi dernier elle a fait de la corde a sauter et et rentré toutde suite en crise elle n’a pas pu aller a l’ecole pendant quequelque jours repos obligé.

        • La maladie de Sever ne peut pas donner de douleurs qui remontent au-dessus du tendon d’Achille !!!
          Sauter à la corde = impacts répétés = possibilité que des phénomènes inflammatoires, existant sur les articulations portantes (jambe), augmentent.
          Cause à chercher = rhumatologue

          Yves

  37. bianco dit :

    bonjour j’ai 37 ans j’ai une polyarthrite depuis 3 ans et j’ai depuis 3 jours une névralgie cervicale bronchiale qui ne s’arrange pas je n’en peux plus chaque jour c’est autre chose mes muscles me font mal chacun après l’autre s.o.s

  38. Liliane DEVAL dit :

    Bonjour docteur,
    J’ai 66 ans. à la suite d’un choc direct sur le long biceps, des radios et une échographie ont conclu à une synovie du long biceps et une bursite sous acromio- deltoïdienne et mis en évidence une sub luxation ancienne de l’épaule avec épaississement de la bourse synoviale et une encoche relativement importante de la tête de l’humérus (conséquence d’une chute de cheval avec fracture de la clavicule il y a 30 ans). mon généraliste m’a prescrit des anti- inflammatoires à deux reprises, sans résultat probent. J’entame 12 séances de kinésithérapie et m’interroge sur les mouvements qu’on me fait faire : la kine me soulève à plusieurs reprises l’épaule au maximum, ce qui engendre des craquements dans l’épaule (douleur supportable). Après cette séance, la douleur était plus vive qu’avant et perdure, devenant insupportable la nuit. Je m’interroge donc sur le déroulé du protocole de soin et me demande si je dois attendre la fin des séances de kiné avant que mon médecin ne me prescrive des infiltrations en l’absence de résultat.
    Je vous remercie par avance pour les conseils que vous pourrez me donner

  39. PAUC dit :

    Ci-après le message que je vous ai transmis par mail et auquel vous avez gentiment répondu. Avec mes remerciements.

    Docteur,
    >
    > Je me permets de vous adresser ce message suite à la consultation de votre site.
    >
    > Agée de 66 ans, j’ai chuté dans mon escalier il y a 3 mois. Après quelques jours où j’ai plutôt été gêné par quelques hématomes, j’ai ressenti une douleur au niveau du biceps droit qui s’est rapidement étendue jusqu’à l’épaule. Cette douleur continue m’empêche de lever le bras au-dessus de l’horizontale et de faire un mouvement vers l’arrière. Impossibilité par exemple d’agrafer un soutien-gorge.
    >
    > Je vous joins le résultat de l’échographie que j’ai passée il y a quelques semaines.
    >
    > Mon médecin traitant m’a prescrit 10 jours d’anti-inflammatoires qui m’ont légèrement soulagé durant le traitement, suite à quoi ma gêne ne fait que s’accroitre.
    >
    > Cette personne qui avait ma confiance, lorsque je lui ai parlé de séances de kinésithérapeute, m’a dit que cela ne servirait à rien puisque ça n’avait rien à voir avec l’épaule ce qui me semble en totale contradiction avec le résultat de mes examens.
    >
    > Le repos, bras en écharpe collé au buste, ne m’apporte aucun soulagement.
    >
    > Je vous remercie de bien vouloir me transmettre vos conseils, consultation d’un Rhumatologue, infiltrations, Kiné, …
    >
    > Bien cordialement,
    >
    > Marie

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